Les chaussures connectées ? Cela existe depuis plus de trois ans avec Nike, qui permet, à la fin de la journée, d'avoir une idée du nombre de pas effectués, ou encore des calories dépensées après un parcours. Récemment, le géant chinois Xiaomi, numéro 5 mondial de la fabrication de smartphones, s'est allié avec le fabricant chinois Li Ning pour mettre au point des chaussures connectées fin 2015. Ils ont décidé de s'appuyer sur Huami Technology, une start-up chinoise spécialisée dans les capteurs d'activité. Une application mobile permettra ainsi d'observer le nombre de courses, le positionnement des pieds, le nombre de calories dépensées... De son côté, le modèle indien Lechal propose, lorsque vous avez intégré une destination, de vous indiquer le chemin par vibration... Il est même possible de taper du bout du pied pour exprimer un intérêt sur un lieu spécifique. Pas sûr que cela soit vraiment utile, mais il fallait y penser.
Côté français aussi, on s'organise. Ainsi, dans #TECH24, l'émission high-tech de France 24 dont Le Point.fr est partenaire, on observe les prototypes de Glagla International, une jeune entreprise basée à Nancy, jusqu'ici connue pour avoir montré au CES un modèle de chaussures chauffantes. Celle-ci a mis au point il y a six mois Digitsole, des semelles équipées d'une résistance électrique que l'on peut "glisser" dans n'importe quelle chaussure. Pesant 120 grammes chacune, elles sont connectées en Bluetooth à votre smartphone, ce qui permet de régler la température de chaque chaussure via une application dédiée. La start-up nancéienne, créée par l'entrepreneur Karim Oumnia, ne compte pas s'arrêter là : elle planche sur des modèles originaux de chaussures adaptées à la randonnée, à la chasse, ou aux métiers du bâtiment par exemple. La fin de la pénibilité 2.0 ? Il faut encore travailler sur les batteries des modèles qui, pour être vraiment utiles, doivent pouvoir tenir plus d'une journée.
À l'avenir, certains métiers recommanderont-ils des chaussures connectées au même titre que les casques, aujourd'hui ? Glagla International explique avoir amorcé des discussions en France avec La Poste, et a même été approchée par l'armée américaine, soucieuse d'avoir des chaussures capables de résister dans des conditions extrêmes, en Alaska par exemple.
Côté français aussi, on s'organise. Ainsi, dans #TECH24, l'émission high-tech de France 24 dont Le Point.fr est partenaire, on observe les prototypes de Glagla International, une jeune entreprise basée à Nancy, jusqu'ici connue pour avoir montré au CES un modèle de chaussures chauffantes. Celle-ci a mis au point il y a six mois Digitsole, des semelles équipées d'une résistance électrique que l'on peut "glisser" dans n'importe quelle chaussure. Pesant 120 grammes chacune, elles sont connectées en Bluetooth à votre smartphone, ce qui permet de régler la température de chaque chaussure via une application dédiée. La start-up nancéienne, créée par l'entrepreneur Karim Oumnia, ne compte pas s'arrêter là : elle planche sur des modèles originaux de chaussures adaptées à la randonnée, à la chasse, ou aux métiers du bâtiment par exemple. La fin de la pénibilité 2.0 ? Il faut encore travailler sur les batteries des modèles qui, pour être vraiment utiles, doivent pouvoir tenir plus d'une journée.
À l'avenir, certains métiers recommanderont-ils des chaussures connectées au même titre que les casques, aujourd'hui ? Glagla International explique avoir amorcé des discussions en France avec La Poste, et a même été approchée par l'armée américaine, soucieuse d'avoir des chaussures capables de résister dans des conditions extrêmes, en Alaska par exemple.