Senghor le surnommait le lièvre en référence à son esprit rusé. Les anciens de sa génération mettaient les jeunes en garde contre lui. Ceux là même qui l’on adulé et porté aux pouvoir en mars 2000. Onze ans après, ils sont si déçus qu’ils piaffent d’impatience d’en découdre avec le président Abdoulaye Wade. Aussi attendent t-ils fermement le 26 février prochain date des présidentielles. Mais le « maitre du jeu », peu respectueux de la volonté populaire joue de plus en plus des fosses notes.
Moussfa
Moussfa