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REACTION IBRAHIMA FALL APRES LE DRAME DE FANAYE « Ceux qui nous gouvernent sont poursuivis par une double malédiction d’argent et de foncier »

Regrettant avec écœurement la tragédie survenue récemment dans la communauté rurale de Fanaye où deux individus ont perdu la vie suite à un problème de terres, Ibrahima Fall, un des candidats déclarés à la prochaine élection présidentielle a tiré à boulets rouges sur le régime de l’alternance. On a le sentiment que ceux qui nous gouvernent aujourd’hui, sont poursuivis par une double malédiction d’argent et de foncier », a-t-il déclaré samedi dernier à Diourbel où il effectuait une série de visites auprès des marabouts.


Rédigé par leral.net le Lundi 31 Octobre 2011 à 15:07 | | 7 commentaire(s)|

REACTION IBRAHIMA FALL APRES LE DRAME DE FANAYE       « Ceux qui nous gouvernent sont poursuivis par une double malédiction d’argent et de foncier »
« Partout où il ya le minimum d’argent ou le minimum de foncier non bâti, le régime actuel s’accapare ces ressources. A la fin cela devient une maladie, et je crois qu’il est grand temps d’y mettre un terme. Il est regrettable qu’on en soit arrivé à des morts d’hommes, et notamment à Fanaye du fait de cette boulimie foncière qui caractérise le régime actuel. Mon ambition est de remettre la terre à ceux auxquels elle appartient, c'est-à-dire à ceux là qui depuis longtemps la cultive, et nourrissent leurs familles avec. C’est pourquoi j’ai bien l’intension de mettre en place une importante réforme foncière destinée à la réappropriation des terres par la nation sénégalais, et le programme de gouvernement que je vais bientôt publier dans quelques semaines le montrera ». Voilà en substance la réaction du candidat Ibrahima Fall à la prochaine élection présidentielle du 26 février 2012, au sujet des tristes évènements survenus la semaine dernière à Fanaye. Le leader du mouvement « Takhaw tém » qui a effectué ce weekend une série de visites auprès des marabouts dans la capitale du Baol, en a profité pour décliner très clairement ses ambitions devant ces derniers à qui il a demandé des prières et des bénédictions pour le succès de sa candidature. Toutefois, Ibrahima Fall qui, tout au long de ces périples a exhibé son appartenance à la famille « Baye Fall » puisque lui-même étant homonyme de Cheikh Ibrahima Fall, le premier disciple de Cheikh Ahmadou Bamba le vénéré fondateur du Mouridisme, a également exprimé devant les journalistes son satisfécit à l’issue de cette journée marathon. « Aujourd’hui, je suis à Diourbel dans le cadre d’une visite de courtoisie et de sensibilisation. Vous avez constaté l’importance que ces personnalités auxquelles j’ai rendu visite ; accordent à cette échéance présidentielle de 2012 et à la candidature que j’ai l’honneur de porter. Et je crois que le double objectif de visite de courtoisie d’une part, et de sensibilisation, d’autre part. a été largement atteint », a-t-il expliqué.





Gora KANE




1.Posté par omar le 01/11/2011 10:03 | Alerter
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L’urbanisation a avalé tous les espaces cultivables des communautés rurales du Sénégal.
Si cette tendance continue on risque de ne plus avoir de terres arables ; il urge que les autorités aménagent des zones agricoles et des zones industrielles à l’image des pays développés.
Les lotissements sauvages et la vente des superficies effectués par les conseillers ruraux anéantissent la survie des masses paysannes.
La conséquence directe c’est l’accroissement du taux de l’exode rural au détriment des campagnes.
Les régions de Dakar et de Thiès sont largement victimes de cette urbanisation sauvage.
Outre la saturation du secteur informel et le problème lancinant des marchants ambulants ; il est tant que les autorités arrêtent la boulimie foncière et procèdent à une répartition équitable de la réserve foncière de notre pays.
Quand des milliers de terre sont réservés pour l’agriculture comme c’est le cas à Mbane ce sont les paysans du dimanche (pontes de la république) qui occupent inutilement ces surfaces. Prés de 190 000 ha de la communauté rurale de Mbane sont restés 5 ans sans être valorisé par les occupants.
C’est la raison pour laquelle l’ancien PCR avait pris la décision de désaffecter ces terres au profit des véritables paysans.
Quand la production est abondante, se pose le problème de l’écoulement c’est le cas de l’arachide dans le bassin arachidier, l’oignon et la tomate dans la vallée du fleuve Sénégal. Les autorités gouvernementales doivent dépoussiérer la nouvelle politique agricole concoctée par le régime socialiste pour organiser le secteur.
Si l’état veut le problème de Fanaye devienne un mauvais souvenir, il faudra élargir la concertation à tous les niveaux.
Le pilotage à vue doit cesser, car les 70°/° des sénégalais vivent de l’agriculture et leur survie est à ce prix.

2.Posté par siga diouf le 01/11/2011 12:26 | Alerter
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C'est un lapsus de Ibrahima Fall. Il voulait dire que la malédiction poursuit l'opposition qui à quelques mois des élections cherche désespérément candidat. Jusqu'à ce jour les candidatures déclarées sont fantaisistes et peu crédibles et Tanor et Niass marquent le pas

3.Posté par siga diouf le 01/11/2011 12:28 | Alerter
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Ibrahima Fall un candidat que les sénégalais ne connaissent pas et qui passe inaperçu quand il marche dans les rues. Il est passé dans l'anonymat à Thiès.

4.Posté par siga diouf le 01/11/2011 12:30 | Alerter
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Le président et son premier ministre ont pris une décision responsable par rapport aux problèmes de Fanaye donc je vois plus pourquoi s'attarder sur cette question prise en main par le chef de l'état lui même

5.Posté par siga diouf le 01/11/2011 12:32 | Alerter
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Comme les candidats de l'opposition n'ont pas de matières pour leurs actions de déploiement ils s'accrochent à tout ce qu'il leur tombe sur la main. Là ils ne s'arrêtent pas jusqu'à un autre évènement

6.Posté par siga diouf le 01/11/2011 12:34 | Alerter
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Le président candidat du peuple a lui un programme concret de par ses réalisations en 11 ans de pouvoir. contrairement à l'opposition qui erre sans destination précise la pauvre

7.Posté par siga diouf le 01/11/2011 12:36 | Alerter
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Le Président en bon dirigeant intervient personnellement quand il le faut. Il n'hésite jamais à se mouiller quand il s'agit de mettre à l'aise ses mandant. C'est ce qu'il a fait avec les problèmes de Fanaye

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