Ouza Sow dort du sommeil du juste. Le «papa chéri» de la cantatrice, Nabou «Ya Dane» n’est nullement perturbé par les menaces d’exclusion brandies par les membres de son staff. Particulièrement, par le secrétaire général de l’écurie, Malick Guèye, dans Le Quotidien d’hier, et par son frère, le Tigre de Fass, Moustapha Tapha, samedi sur les ondes de la Rfm.
Ayant besoin de maximum de concentration, le sociétaire de Fass estime que la seule chose qui vaille, pour lui, pour le moment, est son combat contre Jules Baldé, pourtant à l’origine de l’épée de Damoclès qui pèse sur sa tête pour avoir signé le contrat sans l’aval de son écurie.
C’est donc sur un ton ferme, que Ouza lâche au bout du fil : «Tapha Guèye peut avancer tout ce qu’il veut. Il peut parler et dire tout ce qu’il veut. Tout ce que je peux dire, c’est que personne ne peut m’exclure de l’écurie Fass. C’est ce que je tiens à dire pour le moment.»
C’est sur ses propos qu’il s’est limité, ne préférant pas être volubile sur la question, prétextant réserver sa réponse au lendemain de sa confrontation, se profilant à l’horizon d’une saison dont le démarrage officiel est pour aujourd’hui.
BOY NAR : «TAPHA N’A JAMAIS PARLE D’EXCLUSION»
Pourtant, le grand frère de Papa Sow semble verser dans une démarche ambiguë en usant du terme : «Ce n’est pas sûr», lorsqu’il s’est agi d’en savoir plus s’il va ou non poursuivre ses entraînements au sein de son écurie en vue de sa prochaine sortie.
Tapha Guèye 2, de retour d’Espagne, est dans la même posture pour s’être engagé dans une confrontation contre Papis Général sans l’autorisation de l’écurie du Président Momar Ndiaye. N’ayant pas encore débuté ses entraînements au sein de son écurie, l’ancien «émigré lutteur» verra son combat officialisé aujourd’hui auprès du Comité national de gestion (Cng) de la lutte avec le frère de son ancien manager, feu Pape Mbaye. Un ultimatum, tout de même, est lancé à l’encontre des deux «fautifs» qui ont été près à renoncer à leurs contrats pour ne pas se faire infliger une sanction.
Le secrétaire général de l’écurie, Malick Guèye, d’ailleurs, a eu à le souligner hier dans nos colonnes : «Rien n’est encore officiel concernant les sanctions. C’est au bureau de décider lors de sa prochaine réunion.» Une opportunité pour Ouza Sow, sous la «bannière de Fass», de prendre sa revanche sur son prochain adversaire, l’ayant, en 2000, dominé sur décision arbitrale. Le combat ayant été interrompu par son coéquipier Gris Bordeaux.
Quant à Boy Nar, à qui il est souvent reproché ses nombreuses sorties dans la presse pour s’indigner de sa non-prise en charge, il affirme ne pas croire cette rumeur d’exclusion de l’écurie Fass. «Aussitôt après son intervention sur la Rfm, j’ai appelé Tapha Guèye qui m’a dit que le terme exclusion n’est pas sorti de sa bouche. Ce n’est pas vrai, il n’y a rien. Tout cela c’est des bla-bla.»
Notre interlocuteur fait savoir dans son argumentaire «qu’il n’a été nullement question d’exclusion, mais d’une Assemblée générale que l’écurie doit, en perspective, organiser», soutient Boy Nar, qui révèle en avoir rit alors qu’il était en pleine séance de musculation dans une salle.
Les contre-performances sportives de Fass la saison dernière, avec 39 combats, pour 22 défaites contre 16 victoires et un nul, ont fini de faire le lit d’une écurie à problèmes. Et il est à craindre que les exclusions annoncées ne soient la sanction de trop.
source le quotidien
Ayant besoin de maximum de concentration, le sociétaire de Fass estime que la seule chose qui vaille, pour lui, pour le moment, est son combat contre Jules Baldé, pourtant à l’origine de l’épée de Damoclès qui pèse sur sa tête pour avoir signé le contrat sans l’aval de son écurie.
C’est donc sur un ton ferme, que Ouza lâche au bout du fil : «Tapha Guèye peut avancer tout ce qu’il veut. Il peut parler et dire tout ce qu’il veut. Tout ce que je peux dire, c’est que personne ne peut m’exclure de l’écurie Fass. C’est ce que je tiens à dire pour le moment.»
C’est sur ses propos qu’il s’est limité, ne préférant pas être volubile sur la question, prétextant réserver sa réponse au lendemain de sa confrontation, se profilant à l’horizon d’une saison dont le démarrage officiel est pour aujourd’hui.
BOY NAR : «TAPHA N’A JAMAIS PARLE D’EXCLUSION»
Pourtant, le grand frère de Papa Sow semble verser dans une démarche ambiguë en usant du terme : «Ce n’est pas sûr», lorsqu’il s’est agi d’en savoir plus s’il va ou non poursuivre ses entraînements au sein de son écurie en vue de sa prochaine sortie.
Tapha Guèye 2, de retour d’Espagne, est dans la même posture pour s’être engagé dans une confrontation contre Papis Général sans l’autorisation de l’écurie du Président Momar Ndiaye. N’ayant pas encore débuté ses entraînements au sein de son écurie, l’ancien «émigré lutteur» verra son combat officialisé aujourd’hui auprès du Comité national de gestion (Cng) de la lutte avec le frère de son ancien manager, feu Pape Mbaye. Un ultimatum, tout de même, est lancé à l’encontre des deux «fautifs» qui ont été près à renoncer à leurs contrats pour ne pas se faire infliger une sanction.
Le secrétaire général de l’écurie, Malick Guèye, d’ailleurs, a eu à le souligner hier dans nos colonnes : «Rien n’est encore officiel concernant les sanctions. C’est au bureau de décider lors de sa prochaine réunion.» Une opportunité pour Ouza Sow, sous la «bannière de Fass», de prendre sa revanche sur son prochain adversaire, l’ayant, en 2000, dominé sur décision arbitrale. Le combat ayant été interrompu par son coéquipier Gris Bordeaux.
Quant à Boy Nar, à qui il est souvent reproché ses nombreuses sorties dans la presse pour s’indigner de sa non-prise en charge, il affirme ne pas croire cette rumeur d’exclusion de l’écurie Fass. «Aussitôt après son intervention sur la Rfm, j’ai appelé Tapha Guèye qui m’a dit que le terme exclusion n’est pas sorti de sa bouche. Ce n’est pas vrai, il n’y a rien. Tout cela c’est des bla-bla.»
Notre interlocuteur fait savoir dans son argumentaire «qu’il n’a été nullement question d’exclusion, mais d’une Assemblée générale que l’écurie doit, en perspective, organiser», soutient Boy Nar, qui révèle en avoir rit alors qu’il était en pleine séance de musculation dans une salle.
Les contre-performances sportives de Fass la saison dernière, avec 39 combats, pour 22 défaites contre 16 victoires et un nul, ont fini de faire le lit d’une écurie à problèmes. Et il est à craindre que les exclusions annoncées ne soient la sanction de trop.
source le quotidien