Depuis l’installation de notre projet éducatif au Sénégal, tous les observateurs de bonne foi reconnaissent les gros investissements consentis pour mettre notre communauté éducative dans d’excellentes conditions de travail. Le prétendu collectif d’enseignants étrangement anonymes animés d’une volonté manifeste de nuire ne parviendra guère à infléchir notre détermination d’accomplir sereinement notre mission de formation de la jeunesse sénégalaise.
Les récriminations qui ont inspiré l’auteur de l’article constituent un amalgame d’accusations grossières qui ne résistent guère à l’analyse. Le racisme et le népotisme brandis par nos détracteurs se trouvent à l’antipode de nos préoccupations et ne correspondent nullement à notre philosophie.
Les enseignants turcs sont constamment dans les familles sénégalaises, partageant leurs repas vivant leurs problèmes. Nos coopérants sont bien connus par les banlieusards dakarois, s’impliquant périodiquement dans des opérations de distribution de vivres et de médicaments. L’opération IFTAR (ndogou) pendant le Ramadan est particulièrement appréciée par les populations. Avec l’ensemble de nos personnels, nous nous évertuons d’entretenir de bons rapports de convivialité, partageant nos campements, nos excursions et les invitant à effectuer des voyages d’études avec une parfaite intégration dans des familles turques.
L’outrecuidance atteint son comble lorsque le prétendu collectif semble insinuer son intéressement sur des bénéfices dont les revenus sont estimés à 12.420.000 francs par classe. On occulte royalement les coûts induits globaux de la formation dispensée. Penser que Yavuz Sélim roule sur de l’or est une bévue irresponsable. Doit-on rappeler que nous ne nous livrons à aucune activité lucrative sensu stricto ? Nous ne sommes ni une société, ni une entreprise commerciale ou industrielle ; mais un établissement d’éducation financé grâce à la générosité et au sacrifice de partenaires techniques et hommes d’affaires turcs qui demeurent nos seuls interlocuteurs après l’Etat sénégalais auquel nous sommes liés par des obligations réglementaires. Toutes les retombées éventuelles générées sont systématiquement réinvesties au Sénégal et en Afrique de l’Ouest pour l’extension de notre carte scolaire, la modernisation de nos équipements et une activité caritative au profit des populations défavorisées. Ose-t-on poser la même insinuation à un établissement privé géré par un déclarant responsable sénégalais ? Ne voit –on pas là une discrimination qui ne dit pas son nom ?
En ce qui concerne les salaires des enseignants, nous réaffirmons notre respect rigoureux des dispositions du code de travail. Les salaires payés régulièrement sont ceux prévus par la convention collective de l’enseignement privé au Sénégal. Nous allons même jusqu’à octroyer 3 mois de salaire pendant les vacances sous forme de gratification aux enseignants vacataires de nos écoles élémentaires.
Nous comprenons aisément que le contexte de compétition que vit l’enseignement privé au Sénégal puisse aboutir à des dérives et des dénigrements injustifiés. Cependant à nos détracteurs tapis dans l’ombre nous opposons un débat serein autour de problèmes qui sont inévitables dans toute communauté humaine. Nos infrastructures constituent des espaces de dialogue qui peuvent être mis à profit pour débattre de thèmes porteurs de développement.
Le développement du projet YAVUZ SELIM au Sénégal et le succès qui l’entoure nous inspirent plutôt de l’humilité. Nous invitons ceux qui ourdissent des complots pour déstabiliser YAVUZ SELIM à troquer l’anathème et la polémique contre le dialogue et ses valeurs. Nous ne prêterons jamais le flanc pour nous rabaisser au niveau de nos détracteurs et leurs commanditaires. Les valeurs que nous incarnons sont trop importantes pour le Sénégal et l’Afrique. On ne saurait les brader dans des contradictions internes stériles.
Nous prions pour que les égarés rentrent dans les rangs.
Le Directeur Général
Les récriminations qui ont inspiré l’auteur de l’article constituent un amalgame d’accusations grossières qui ne résistent guère à l’analyse. Le racisme et le népotisme brandis par nos détracteurs se trouvent à l’antipode de nos préoccupations et ne correspondent nullement à notre philosophie.
Les enseignants turcs sont constamment dans les familles sénégalaises, partageant leurs repas vivant leurs problèmes. Nos coopérants sont bien connus par les banlieusards dakarois, s’impliquant périodiquement dans des opérations de distribution de vivres et de médicaments. L’opération IFTAR (ndogou) pendant le Ramadan est particulièrement appréciée par les populations. Avec l’ensemble de nos personnels, nous nous évertuons d’entretenir de bons rapports de convivialité, partageant nos campements, nos excursions et les invitant à effectuer des voyages d’études avec une parfaite intégration dans des familles turques.
L’outrecuidance atteint son comble lorsque le prétendu collectif semble insinuer son intéressement sur des bénéfices dont les revenus sont estimés à 12.420.000 francs par classe. On occulte royalement les coûts induits globaux de la formation dispensée. Penser que Yavuz Sélim roule sur de l’or est une bévue irresponsable. Doit-on rappeler que nous ne nous livrons à aucune activité lucrative sensu stricto ? Nous ne sommes ni une société, ni une entreprise commerciale ou industrielle ; mais un établissement d’éducation financé grâce à la générosité et au sacrifice de partenaires techniques et hommes d’affaires turcs qui demeurent nos seuls interlocuteurs après l’Etat sénégalais auquel nous sommes liés par des obligations réglementaires. Toutes les retombées éventuelles générées sont systématiquement réinvesties au Sénégal et en Afrique de l’Ouest pour l’extension de notre carte scolaire, la modernisation de nos équipements et une activité caritative au profit des populations défavorisées. Ose-t-on poser la même insinuation à un établissement privé géré par un déclarant responsable sénégalais ? Ne voit –on pas là une discrimination qui ne dit pas son nom ?
En ce qui concerne les salaires des enseignants, nous réaffirmons notre respect rigoureux des dispositions du code de travail. Les salaires payés régulièrement sont ceux prévus par la convention collective de l’enseignement privé au Sénégal. Nous allons même jusqu’à octroyer 3 mois de salaire pendant les vacances sous forme de gratification aux enseignants vacataires de nos écoles élémentaires.
Nous comprenons aisément que le contexte de compétition que vit l’enseignement privé au Sénégal puisse aboutir à des dérives et des dénigrements injustifiés. Cependant à nos détracteurs tapis dans l’ombre nous opposons un débat serein autour de problèmes qui sont inévitables dans toute communauté humaine. Nos infrastructures constituent des espaces de dialogue qui peuvent être mis à profit pour débattre de thèmes porteurs de développement.
Le développement du projet YAVUZ SELIM au Sénégal et le succès qui l’entoure nous inspirent plutôt de l’humilité. Nous invitons ceux qui ourdissent des complots pour déstabiliser YAVUZ SELIM à troquer l’anathème et la polémique contre le dialogue et ses valeurs. Nous ne prêterons jamais le flanc pour nous rabaisser au niveau de nos détracteurs et leurs commanditaires. Les valeurs que nous incarnons sont trop importantes pour le Sénégal et l’Afrique. On ne saurait les brader dans des contradictions internes stériles.
Nous prions pour que les égarés rentrent dans les rangs.
Le Directeur Général