
Depuis la publication du rapport d’Amnesty international sur la situation alarmante des droits de l’homme au Sénégal, les plus hautes autorités du pays contestent jusqu'à la dernière énergie les remarques faites par la structure que dirige Seydi Gassama. La ministre de la Justice estime que ce rapport est décalé par rapport à la situation actuelle. Ce, étant attendu qu’il fait état d'événements qui remontent bien avant l’arrivée de la nouvelle équipe gouvernementale. Mimi Touré de marteler que le gouvernement a pris des mesures qui vont dans le sens de combattre l’impunité au Sénégal. Elle dénonce de ce point de vue, des « commentaires politiques ».