Au début de l'année 2020, le Mouvement des Insuffisants rénaux du Sénégal, par la voix de son porte-parole, Hamidou Diallo, avait tiré la sonnette d'alarme sur les conditions de vie des patients insuffisants rénaux. Cette déclaration avait suscité l'attention de plusieurs médias et mis en lumière des pratiques préoccupantes dans la gestion des dialyses dans le pays.
D'après les révélations de M. Diallo, la situation est alarmante : les centres de dialyses, tant publics que privés, sont saturés, entraînant des conséquences tragiques pour les patients.
Ceux qui peuvent se permettre le privé, doivent débourser des sommes exorbitantes pour leur traitement, tandis que d'autres, dans le public, se voient refuser les soins, faute de places.
Les chiffres avancés sont accablants : 750 patients dans les centres publics, 250 dans les privés et des milliers de nouveaux cas chaque année. En outre, il est révélé que la Pharmacie nationale d'Approvisionnement est en rupture de stock pour les kits de dialyse, ce qui compromet encore davantage l'accès aux soins pour les patients.
Plus préoccupant encore, M. Diallo pointe du doigt des pratiques de surfacturation dans l'achat des kits de dialyse par l'Agence de la Couverture Maladie Universelle, qui achèterait ces kits à un prix bien supérieur au marché, occasionnant un préjudice financier considérable.
Face à ces allégations, l'OFNAC a jugé nécessaire d'ouvrir une enquête pour faire toute la lumière sur ces pratiques et identifier les responsabilités. Cette affaire met en évidence l'urgence d'une réforme profonde dans la gestion des soins, pour les patients insuffisants rénaux au Sénégal.
Le rapport d'enquête révèle des pratiques frauduleuses et de corruption dans la gestion des dialyses au Sénégal. Initiée par les dénonciations de M. Amadou Diallo, l'enquête a mis en lumière une surfacturation des kits de dialyse, des détournements de fonds publics et des conflits d'intérêts dans les centres de dialyse privés. Les investigations ont conduit à des accusations de corruption et d'escroquerie contre des membres de l'ICP, ainsi que des actions supplémentaires prévues pour enquêter sur d'autres personnes impliquées. Le rapport sera transmis au Procureur de la République de Dakar, pour des suites judiciaires appropriées.
D'après les révélations de M. Diallo, la situation est alarmante : les centres de dialyses, tant publics que privés, sont saturés, entraînant des conséquences tragiques pour les patients.
Ceux qui peuvent se permettre le privé, doivent débourser des sommes exorbitantes pour leur traitement, tandis que d'autres, dans le public, se voient refuser les soins, faute de places.
Les chiffres avancés sont accablants : 750 patients dans les centres publics, 250 dans les privés et des milliers de nouveaux cas chaque année. En outre, il est révélé que la Pharmacie nationale d'Approvisionnement est en rupture de stock pour les kits de dialyse, ce qui compromet encore davantage l'accès aux soins pour les patients.
Plus préoccupant encore, M. Diallo pointe du doigt des pratiques de surfacturation dans l'achat des kits de dialyse par l'Agence de la Couverture Maladie Universelle, qui achèterait ces kits à un prix bien supérieur au marché, occasionnant un préjudice financier considérable.
Face à ces allégations, l'OFNAC a jugé nécessaire d'ouvrir une enquête pour faire toute la lumière sur ces pratiques et identifier les responsabilités. Cette affaire met en évidence l'urgence d'une réforme profonde dans la gestion des soins, pour les patients insuffisants rénaux au Sénégal.
Le rapport d'enquête révèle des pratiques frauduleuses et de corruption dans la gestion des dialyses au Sénégal. Initiée par les dénonciations de M. Amadou Diallo, l'enquête a mis en lumière une surfacturation des kits de dialyse, des détournements de fonds publics et des conflits d'intérêts dans les centres de dialyse privés. Les investigations ont conduit à des accusations de corruption et d'escroquerie contre des membres de l'ICP, ainsi que des actions supplémentaires prévues pour enquêter sur d'autres personnes impliquées. Le rapport sera transmis au Procureur de la République de Dakar, pour des suites judiciaires appropriées.