En réalité, c’est une publication dans sa livraison du jour du journal "Libération" qui l’a irritée. Revenant sur les raisons du « clash » supposé entre Mimi et le président de la République, « Libération », selon nos confrères de senegalactu, a révélé que le départ d’Aminata Touré de la présidence du Conseil économique, social et environnemental (CESE) relèverait d’une mauvaise gestion.
Selon leurs informations, elle a été limogée en même temps que l’Agent comptable particulier (ACP) du CESE.
« Dans l’attente sereine de la passation de service avec le nouveau Président du CESE, je voudrais informer l’opinion nationale et internationale, que j’ai eu à diriger le Conseil Économique, Social et Environnemental pendant 16 mois, en stricte conformité avec les règles et standards de bonne gestion. Les documents de vérification sont en ordre et disponibles au niveau de l’institution ainsi que ma déclaration de patrimoine déposée à l’OFNAC », a aussitôt réagi Mimi Touré.
« Nul ne saurait à cette étape de ma vie administrative et politique, ternir ma réputation et mon intégrité. Je me réserve le droit d’ester en justice contre toute tentative de diffamation ou d’intimidation », a-t-elle ajouté.
Selon leurs informations, elle a été limogée en même temps que l’Agent comptable particulier (ACP) du CESE.
« Dans l’attente sereine de la passation de service avec le nouveau Président du CESE, je voudrais informer l’opinion nationale et internationale, que j’ai eu à diriger le Conseil Économique, Social et Environnemental pendant 16 mois, en stricte conformité avec les règles et standards de bonne gestion. Les documents de vérification sont en ordre et disponibles au niveau de l’institution ainsi que ma déclaration de patrimoine déposée à l’OFNAC », a aussitôt réagi Mimi Touré.
« Nul ne saurait à cette étape de ma vie administrative et politique, ternir ma réputation et mon intégrité. Je me réserve le droit d’ester en justice contre toute tentative de diffamation ou d’intimidation », a-t-elle ajouté.