Dans sa version des faits, Patrick Lambal dira marcher en compagnie de son ami quand soudain, une voiture freine net à leur hauteur, avec à bord, le chanteur et ses amis. « Il m’a demandé de le saluer, ce que j’ai fait après m’être rendu compte qu’il s’agissait de Waly Seck. Je lui ai demandé comment ça allait ? Il m’a répondu que ça va. Mais Boubacar Sané n’a pas voulu le saluer et Waly m’a demandé pourquoi il ne le saluait pas. Je lui ai dit de ne pas s’en faire car mon ami était comme ça. Ensuite nous avons continué notre route. Waly a fait demi-tour et des nervis sont sortis de son véhicule pour nous pourchasser en nous traitant de voleurs. Ils voulaient nous emmener à la mer pour nous bastonner car selon lui nous étions des voleurs. Je lui ai alors fait savoir qu’il faisait une erreur car nous gagnons correctement notre vie ». Boubacar Sané pour sa part, dira : « Waly Seck était saoul, car il se comportait de manière bizarre. Et nous avons beau lui expliquer que nous n’étions pas des agresseurs et qu’il pouvait vérifier à la boulangerie Bamba car, nous travaillons dans cette boulangerie connue de tous ».
Patrick Sané de révéler qu’au moment où ils se faisaient malmener, un « policier » est tombé sur la scène. « Il m’a giflé et a dit à Waly : « Ton père a été le premier à m’offrir un million de FCFA. Donc je n’accepterais pas que tes agresseurs s’en tirent à bon compte », ensuite, il a demandé que l’on envoie deux éléments à notre boulangerie pour vérifier si réellement nous étions des livreurs de pain. Ce que deux de nos collègues ont confirmé ». Le « policier » qui avait un véhicule L200 immatriculé Dk 7762 AK n’a pas pu établir de preuves contre les présumés voleurs de Waly Seck. Il a quitté les lieux, laissant les deux livreurs de pain avec leurs blessures.
Le Chanteur dit attendre la plainte de ses accusateurs
Dans sa version des faits, Waly Seck a soutenu: « Quand j’ai été agressé devant mon domicile, il y’avait eu certains de mes amis qui sont tombés sur la scène. Quand nous nous sommes mis à leur poursuite, aux Hlm Grand Yoff, il y’a eu deux personnes qui sont venues nous dire qu’elles étaient également agressées par la même bande. Quand on a vu deux personnes sortir d’une ruelle, mes amis les ont interpellées. Quand j’ai salué l’une des deux personnes, l’autre a répondu qu’il n’allait pas me saluer. Je lui ai demandé sa pièce d’identité, mais il a refusé. Je lui ai dit d’attendre et il s’est mis à fuir. Et je n’ai pas compris pourquoi il a fui. Mes amis se sont lancés à ses trousses. Quand mes amis l’on arrêté, je les ai retrouvé près de l’école « les pédagogues ». Je me suis engagé à dire à mes amis de les laisser entrer dans le véhicule. Ils n’ont pas été brutalisés et quand nous nous sommes retrouvés à la gendarmerie le lendemain, il m’a demandé 65 000 FCFA, je pouvais bel et bien les lui donner mais ce serait comme si je me reprocherais des choses. En tout cas, j’attends leur plainte qu’ils ont déposé devant le procureur, parce que moi aussi j’ai déposé une plainte. »
REWMI.COM/MK
Patrick Sané de révéler qu’au moment où ils se faisaient malmener, un « policier » est tombé sur la scène. « Il m’a giflé et a dit à Waly : « Ton père a été le premier à m’offrir un million de FCFA. Donc je n’accepterais pas que tes agresseurs s’en tirent à bon compte », ensuite, il a demandé que l’on envoie deux éléments à notre boulangerie pour vérifier si réellement nous étions des livreurs de pain. Ce que deux de nos collègues ont confirmé ». Le « policier » qui avait un véhicule L200 immatriculé Dk 7762 AK n’a pas pu établir de preuves contre les présumés voleurs de Waly Seck. Il a quitté les lieux, laissant les deux livreurs de pain avec leurs blessures.
Le Chanteur dit attendre la plainte de ses accusateurs
Dans sa version des faits, Waly Seck a soutenu: « Quand j’ai été agressé devant mon domicile, il y’avait eu certains de mes amis qui sont tombés sur la scène. Quand nous nous sommes mis à leur poursuite, aux Hlm Grand Yoff, il y’a eu deux personnes qui sont venues nous dire qu’elles étaient également agressées par la même bande. Quand on a vu deux personnes sortir d’une ruelle, mes amis les ont interpellées. Quand j’ai salué l’une des deux personnes, l’autre a répondu qu’il n’allait pas me saluer. Je lui ai demandé sa pièce d’identité, mais il a refusé. Je lui ai dit d’attendre et il s’est mis à fuir. Et je n’ai pas compris pourquoi il a fui. Mes amis se sont lancés à ses trousses. Quand mes amis l’on arrêté, je les ai retrouvé près de l’école « les pédagogues ». Je me suis engagé à dire à mes amis de les laisser entrer dans le véhicule. Ils n’ont pas été brutalisés et quand nous nous sommes retrouvés à la gendarmerie le lendemain, il m’a demandé 65 000 FCFA, je pouvais bel et bien les lui donner mais ce serait comme si je me reprocherais des choses. En tout cas, j’attends leur plainte qu’ils ont déposé devant le procureur, parce que moi aussi j’ai déposé une plainte. »
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