«Mais là où nous devons être vigilants, c’est la précocité de la prise en charge. Très souvent, beaucoup de patients restent à domicile pour des raisons de stigmatisation ou de déni et arrivent dans les structures sanitaires à la dernière minute. Et beaucoup de patients que vous voyez, arrivent à la dernière minute, en état grave, ne s’en sortent pas», a-t-il déploré, dans les colonnes de "Vox Populi".
«Cela me permet de lancer un appel de la manière la plus importante pour que les populations, de manière globale, amplifient ce message. Il faut lutter contre la stigmatisation, lutter contre le déni de la maladie et demander aux personnes malades dans les domiciles, de ne pas se cacher, de se présenter aux structures de santé le plus tôt possible. Cela nous donnera les meilleures chances de les sauver», a plaidé Diouf Sarr.
«Cela me permet de lancer un appel de la manière la plus importante pour que les populations, de manière globale, amplifient ce message. Il faut lutter contre la stigmatisation, lutter contre le déni de la maladie et demander aux personnes malades dans les domiciles, de ne pas se cacher, de se présenter aux structures de santé le plus tôt possible. Cela nous donnera les meilleures chances de les sauver», a plaidé Diouf Sarr.