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Reconstruction de la Grande famille libérale : Wade courtise Macky, Idy, Pape Diop et autres

A Versailles où il s’est retiré depuis près d’un an, l’ancien Président caresse le fol espoir de réunir autour de lui les «enfants bannis» du Parti démocratique sénégalais (Pds). Tous sans exception. "Libéraux et Démocrates du monde unissez-vous", tel est le cri de cœur du Pape du Sopi.


Rédigé par leral.net le Mardi 23 Juillet 2013 à 10:00 | | 8 commentaire(s)|

Reconstruction de la Grande famille libérale : Wade courtise Macky, Idy, Pape Diop et autres
Pour réaliser son rêve, Me Abdoulaye Wade a rédigé une sorte de manifeste intitulé : « Appel à la Reconstruction de la Grande famille libérale ». Dans ce document repris par L’As, le Pape du Sopi décline les principales orientations de ces retrouvailles libéro-libérales ainsi que la logique qui sous-tend celle-ci. Mais paradoxe ! Au moment où il courtise ses ancien fils égarés, Wade n’hésite pas à faire le procès du régime de Macky Sall. "Si le peuple souverain a décidé de confier le pouvoir à d’autres", indique-t-il, " il n’y a rien à dire sinon qu’il s’aperçoit à présent qu’il a été trompés ». En somme, Wade regrette que le pouvoir actuel soit tombé entre les mains de manipulateurs néo-colonialistes qui sont actuellement en train de tenter de reconquérir en Afrique leur base économique, arrachées au Sénégal, par le peuple sous la direction du Pds. Après seulement un an d’expérience du nouveau régime, tout le monde s’accorde à constater que notre pays est en pleine régression démocratique, économique et sociale…", écrit Me Wade.



1.Posté par fox le 23/07/2013 10:32 | Alerter
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je préfére attendre de voir le manifeste que de me baser sur ce texte qui peut être écrit par SLD

2.Posté par XOY U BAOL le 23/07/2013 10:41 | Alerter
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VIEIL ESCROC .

TU FERAIS MIEUX DE TE TERRER A VERSAILLES ET MEDITER LES AFFRES QUE TU S IMPOSES AUX SENEGALAIS ...

ABOU WADE SEYTANE BOU BONN NGA .

3.Posté par hatchoumtissoli le 23/07/2013 10:51 | Alerter
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et revoila satan wade dans ses oeuvres de machiavel.il se propose apres qu'il ait ete boute du pouvoir a une reunification impossible de la famille liberale.vous avez ete a la base de toute cette division au sein de la famille liberale car vous avez toujours impose a vos militants que vous etiez la seule constante et qu'en dehors de vous point de salut

4.Posté par AW le 23/07/2013 10:57 | Alerter
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Pourquoi attendre que les choses se corsent sur son coté et son fils il fait semblant de reconstituer la famille soit disant reconstitution ca c'est pas sérieux pourquoi attendre à ce moment alors que c'est lui qui est à l'origine de tous ces fuites

5.Posté par bra le 23/07/2013 12:41 | Alerter
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a son age mouye courisé...........

6.Posté par SOIGNEUR DE FOUS le 23/07/2013 14:49 | Alerter
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DE GRACE NE TIRONS PAS SUR LE CORBILLARD !!!
WADE nous a montré 12 ans durant ce dont il est capable : destructurer l'Etat, dénouer les liens familiaux et affectifs, promouvoir des contre - valeurs telles que le worr, féthie koleuré, tass yâkâr, wourouthie, ndeungueuté, njoublang.
Souvenez-vous lors de son 1er passage à la Télé à l'emission de Daouda NDIAYE "EN TOUTE LIBERTE", son fils Idrissa SECK disait de lui "Il est très rusé et très nuancé". Il pensait décrire des qualités alors que c'était tout le contraire. Il n' y a que les pervers qui font dans la ruse, il n' y a que les hypocrites qui font dans la nuance (pour s'arranger une porte de sortie, au cas où les choses tourneraient mal.

7.Posté par kine le 23/07/2013 19:25 | Alerter
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Le 15 mai réveille trop de malheurs. Cette date renoue le Sénégal avec ses démons. Cela fait 20 ans que cet indicible drame peuple la mémoire du Sénégal. Il est même devenu un attirail pour des hommes politiques qui le déterrent pour en servir d’épée de Damoclès. La Nation a été violemment atteinte dans son orgueil.

La justice est touchée dans son cœur. Samedi 15 mai 1993 : Me Babacar Sèye est tué. En ce début de week-end, le temps est ensoleillé dans la capitale. Comme si de rien n’était. Ce jour-là, le vice-président du Conseil constitutionnel quitte son bureau pour retourner chez lui. Comme toujours. Sur son chemin, un groupe de jeunes avait déjà échafaudé un plan cynique. Criminel. L’affaire serait un bon scenario hollywoodien. La stratégie opératoire, qui a abouti à l’élimination de Me Babacar Sèye, a été digne de grands bandits. En clair, la tactique utilisée été bien préméditée.

8.Posté par kine le 23/07/2013 19:28 | Alerter
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Wade et Cie interpellés
Interrogations et interrogatoires s’en mêlent. Le chauffeur du véhicule s’affiche comme un miraculé. Malgré la balle qui a traversé le repose-tête de son fauteuil, il est indemne. Ce qui reste du véhicule immatriculé Dk 9110 G se constate en morceaux. Le phare droit, le pare-brise, lunette arrière et vitre arrière gauche sont cassés. Les traces des balles sont visibles sur la portière du chauffeur. Des traces de sang sur le fauteuil arrière où était assis le juge. L’exemplaire du journal Le Soleil trouvé à ses côtés laisse croire qu’il était en pleine lecture. Le médecin légiste livre ses résultats sur les moyens du crime. Le juge a été touché par une balle de calibre 9 mn. Accompagné de son épouse, le chef de l’Etat Abdou Diouf se rend à la morgue de l’hôpital Principal. Ils s’inclinent devant la mémoire du défunt. Le Premier ministre de l’époque, Habib Thiam, affiche une fermeté en soutenant que l’Etat allait prendre toutes les mesures nécessaires. «Quel que soit l’auteur du crime.»
Vers 18h, le ministre de l’Intérieur de l’époque, Madieng Khary Dieng, présente les balles du crime au président de la République devant les caméras. Le moment est diffusé par la Rts aux alentours de 20h. Désolation et peur gagnent la classe politique dans ce contexte de tension post-électorale. Des élections législatives venaient de succéder à une Présidentielle dont les résultats ont été très contestés. Tous condamnent le crime et exigent que justice soit rendue. L’enquête est ouverte. La piste politique est privilégiée. Le Parti démocratique sénégalais en fait les frais. Dès le lendemain, Me Abdoulaye Wade, son directeur de campagne Me Ousmane Ngom, Jean Paul Dias et son chef de protocole Pape Samba Mboup sont interpelés. Ils sont entendus et placés sous mandat de dépôt. La bande d’assaillants reste introuvable. La surveillance est renforcée au niveau des postes-frontières. L’axe Kaolack- Banjul est surveillé. Les veillées des forces de sécurité y ont produit des résultats. C’est au niveau du poste frontalier que des suspects ont été arrêtés vers la Gambie. Ils se nomment Amadou Clédor Sène, Pape Ibrahima Dia­khaté, Assane Diop et le conducteur du véhicule René Diédhiou. Ils sont condamnés à 20 et 18 ans de travaux forcés. Avant de bénéficier d’une grâce présidentielle et aussi d’une amnistie des faits. Mais la bêtise ne connaît jamais de prescription.


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