Les tendances globales disponibles à l’heure actuelle, montrent que l’épidémie n’a pas trop affecté le programme de planification familiale. Cependant, une analyse détaillée révèle un recul du recours à la contraception dans les régions les plus infectées par la crise, en l’occurrence Dakar, Thiès et Diourbel.
Jointe au téléphone par le quotidien « L’As », la présidente de l’Association des sages-femmes du Sénégal, Bigué Bâ Mbodj estime qu’« il y a eu beaucoup de femmes qui étaient sous contraception ou qui en avaient besoin après un accouchement ou un avortement, mais qui n’ont pas pu avoir accès parce qu’elles avaient peur d’aller dans les structures hospitalières ; ou qu’elles avaient des problèmes de transport ».
A l’en croire, les restrictions dues à l’état d’urgence et au couvre-feu et les problèmes de transport que cela a engendré, ont entraîné des problèmes.
« Certainement, il y a eu beaucoup de grossesses non désirées et éventuellement, des grossesses à risques », souligne Mme Mbodj.
Jointe au téléphone par le quotidien « L’As », la présidente de l’Association des sages-femmes du Sénégal, Bigué Bâ Mbodj estime qu’« il y a eu beaucoup de femmes qui étaient sous contraception ou qui en avaient besoin après un accouchement ou un avortement, mais qui n’ont pas pu avoir accès parce qu’elles avaient peur d’aller dans les structures hospitalières ; ou qu’elles avaient des problèmes de transport ».
A l’en croire, les restrictions dues à l’état d’urgence et au couvre-feu et les problèmes de transport que cela a engendré, ont entraîné des problèmes.
« Certainement, il y a eu beaucoup de grossesses non désirées et éventuellement, des grossesses à risques », souligne Mme Mbodj.