Leurs subterfuge a été de passer par l’usage de faux comptes courants, pour récupérer une commande de portables d’une valeur de 33 millions de nos francs.
Toujours dans sa stratégie, Malick avait servi à la société des chèques sans provision, et grâce à la l’appui de ses complices, il a pu faire usage de quelques comptes internes pour arriver à son but.
Leur coup réussi, il s'est fondu dans la nature pour se créer un « petit paradis » jalonné de festivités. Mais après investigations Malick Ba a été alpagué. Et c’est ce vendredi 18 décembre 2020 qu’il faisait face au procureur.
Mais la seule bizarrerie dans cette affaire est que pour avoir plus de détails, Leral s’est rapproché de Manoj M. Rajasekharam, le Gérant de la boite installée à Dakar depuis 2014, mais grande a été notre surprise de le voir tout dégager en touche. Selon ses dires, ils n’ont pas été truandés.
A-t-il peur que l’affaire ne soit ébruitée ou cherche-t-il à couvrir ses arrières ? En tout cas avant d’aller à sa rencontre Leral avait déjà ses preuves, dont la convocation devant le procureur du principal accusé…
Une affaire à suivre
Toujours dans sa stratégie, Malick avait servi à la société des chèques sans provision, et grâce à la l’appui de ses complices, il a pu faire usage de quelques comptes internes pour arriver à son but.
Leur coup réussi, il s'est fondu dans la nature pour se créer un « petit paradis » jalonné de festivités. Mais après investigations Malick Ba a été alpagué. Et c’est ce vendredi 18 décembre 2020 qu’il faisait face au procureur.
Mais la seule bizarrerie dans cette affaire est que pour avoir plus de détails, Leral s’est rapproché de Manoj M. Rajasekharam, le Gérant de la boite installée à Dakar depuis 2014, mais grande a été notre surprise de le voir tout dégager en touche. Selon ses dires, ils n’ont pas été truandés.
A-t-il peur que l’affaire ne soit ébruitée ou cherche-t-il à couvrir ses arrières ? En tout cas avant d’aller à sa rencontre Leral avait déjà ses preuves, dont la convocation devant le procureur du principal accusé…
Une affaire à suivre