Revenant sur son programme de développement qu’il entend dérouler une fois élu à la tête du pays, au soir du 24 mars 2024, Mame Boye Diao soutient que Kaolack doit être un hub maritime, qui va concurrencer des pays de la sous-région et booster l’économie.
«Avec ce qu’on a fait à Thiès, comme point de départ de la politique ferroviaire, on pouvait faire de Kaolack, un hub maritime, qui permet au Sénégal de pouvoir concurrencer d’autres pays qui s’ouvrent à la destination malienne.
Ce port, son intérêt, c’est de pouvoir rendre le Sénégal attractif, mais surtout, de créer une autre attractivité économique à l’intérieur de la région. Le Mali, c’est le premier partenaire commercial du Sénégal. Si on avait ouvert le port, ça allait créer de nouvelles opportunités », a expliqué le candidat à l’élection présidentielle.
Une fois mis en place, ce port devra permettre d’installer une connectivité avec presque toutes les régions du Sénégal, à travers une transformation sérieuse. Il n’a pas manqué de déplorer la mise à l’écart de Kaolack dans les politiques publiques. Soulignant que cette ville est à la fois, le carrefour et le cœur du Sénégal, il a affirmé qu’elle n’a rien fait pour mériter cette mise à l’écart, dans les politiques économiques de développement initiées par l’État.
«Avec ce qu’on a fait à Thiès, comme point de départ de la politique ferroviaire, on pouvait faire de Kaolack, un hub maritime, qui permet au Sénégal de pouvoir concurrencer d’autres pays qui s’ouvrent à la destination malienne.
Ce port, son intérêt, c’est de pouvoir rendre le Sénégal attractif, mais surtout, de créer une autre attractivité économique à l’intérieur de la région. Le Mali, c’est le premier partenaire commercial du Sénégal. Si on avait ouvert le port, ça allait créer de nouvelles opportunités », a expliqué le candidat à l’élection présidentielle.
Une fois mis en place, ce port devra permettre d’installer une connectivité avec presque toutes les régions du Sénégal, à travers une transformation sérieuse. Il n’a pas manqué de déplorer la mise à l’écart de Kaolack dans les politiques publiques. Soulignant que cette ville est à la fois, le carrefour et le cœur du Sénégal, il a affirmé qu’elle n’a rien fait pour mériter cette mise à l’écart, dans les politiques économiques de développement initiées par l’État.