C’est l’assassinat d’un chef d'une fraction touarègue le 16 février qui a déclenché les hostilités. Peu après sa mort, en signe de représailles, des hommes armés ont attaqué les Touaregs d’une autre fraction. La tension est restée vive. Chaque camp a renforcé ses positions et de nouveaux affrontements se sont déroulés.
Cette fois-ci à Inékar-Ouest, située à quelques dizaines de kilomètres de la ville de Ménaka, capitale et nom d’une des nouvelles régions administratives récemment créées dans le nord par le gouvernement malien.
rfi