Le khalife général des mourides, El Hadji Mohamadou Lamine Bara Mbacké, a déclaré, aujourd’hui, à Touba, être disposé à jouer les bons offices dans le règlement du conflit opposant la presse au pouvoir. Mais cette bonne volonté du khalife général des mourides obéit à la nécessaire acceptation des journalistes "de se faire une nouvelle raison".
"Je suis prêt à intervenir auprès du Président de la République pour diligenter le différend opposant la presse et le pouvoir", a déclaré en substance, le khalif qui recevait une délégation de journalistes présents à Touba pour les besoins des journées de solidarités organisées par le mouvement bëg Touba (Mbt). Après avoir tenu un discours moralisateurs, Serigne Bara n’aura pas manqué de rappeler aux journalistes la nécessité d’inscrire leur travail dans la vérité, rien que sur la vérité. Par ce que, pense-t-il, "il n’est pas concevable, encore moins acceptable, que l’on calomnie ou que l’on dise des contrevérités sur des honnêtes citoyens à fortiori des responsables religieux ou politiques".
"Dans toute société qui se respecte et civilisée, il est une obligation pour tous de respecter l’autorité", rappelle le successeur de Sérigne Saliou Mbacké qui avertit que "désormais quiconque voulant écrire ou dire des choses sur Touba et la famille de Serigne Touba doit obligatoirement se référer à lui". "Je vous assure que si vous faites ce que je vous recommande, tous vos problèmes seront résolus", promet le Khalife général des mourides qui croit savoir "qu’aucun sénégalais n’a intérêt à ce que le pays brûle".
"Nous avons tous la même destinée", dit-t-il, à l’endroit des journalistes qui, à ses yeux, ont une lourde responsabilité d’avoir la plume et le micro. "Le pouvoir ne peut aller sans la presse et vice versa", prêche en conclusion le Khalife général des mourides, El Hadji Mohamadou Lamine Bara Mbacké. Dans la matinée de la célébration des journées de solidarité organisées par le mouvement Bëg Touba (Mbt) de Bassirou Sy, c’était Cheikh Bassirou Mbacké qui avait embouché la même trompette pour plaider pour l’apaisement dans les reations entre le pouvoir et la presse.
"Je suis prêt à intervenir auprès du Président de la République pour diligenter le différend opposant la presse et le pouvoir", a déclaré en substance, le khalif qui recevait une délégation de journalistes présents à Touba pour les besoins des journées de solidarités organisées par le mouvement bëg Touba (Mbt). Après avoir tenu un discours moralisateurs, Serigne Bara n’aura pas manqué de rappeler aux journalistes la nécessité d’inscrire leur travail dans la vérité, rien que sur la vérité. Par ce que, pense-t-il, "il n’est pas concevable, encore moins acceptable, que l’on calomnie ou que l’on dise des contrevérités sur des honnêtes citoyens à fortiori des responsables religieux ou politiques".
"Dans toute société qui se respecte et civilisée, il est une obligation pour tous de respecter l’autorité", rappelle le successeur de Sérigne Saliou Mbacké qui avertit que "désormais quiconque voulant écrire ou dire des choses sur Touba et la famille de Serigne Touba doit obligatoirement se référer à lui". "Je vous assure que si vous faites ce que je vous recommande, tous vos problèmes seront résolus", promet le Khalife général des mourides qui croit savoir "qu’aucun sénégalais n’a intérêt à ce que le pays brûle".
"Nous avons tous la même destinée", dit-t-il, à l’endroit des journalistes qui, à ses yeux, ont une lourde responsabilité d’avoir la plume et le micro. "Le pouvoir ne peut aller sans la presse et vice versa", prêche en conclusion le Khalife général des mourides, El Hadji Mohamadou Lamine Bara Mbacké. Dans la matinée de la célébration des journées de solidarité organisées par le mouvement Bëg Touba (Mbt) de Bassirou Sy, c’était Cheikh Bassirou Mbacké qui avait embouché la même trompette pour plaider pour l’apaisement dans les reations entre le pouvoir et la presse.