Mme Michaëlle Jean, a indiqué que c’est un grand projet pour l’Afrique, parce que c’est à la fois pour le Sénégal et pour le continent africain. C’est parce que, dit-elle, la question du développement, de l’émergence dépend aussi de l’investissement qui peut être fait dans les infrastructures, notamment celles qui sont primordiales.
La mobilité, la capacité de transporter des marchandises, avec le chemin de fer qui permet un plus grand tonnage à l’essieu, une plus grande capacité de transporter des matériaux lourds, sont des facteurs pouvant imprimer un tournant au Sénégal et dans toute la sous-région, d’autant plus que la projection par rapport à ce projet est sous-régionale, pouvant aller jusqu’au Niger.
Selon elle, le Canada s’est construit autour du chemin de fer, du Sud au Nord, d’Est en Ouest. A l’origine du développement de tous ses territoires, de toutes ses provinces, il y a le chemin de fer, le transport de marchandises, le transport de personnes dans de meilleures conditions.
Elle renseigne qu’avec ce partenariat, le Canada apporte des garanties aboutissant à zéro endettement pour l’Etat sénégalais, avec des redevances qui vont aussi vers l’Etat du Sénégal. C’est cela le véritable partenariat parce qu’on est dans la réciprocité. C’est donc un partenariat gagnant-gagnant, dont la mise en oeuvre prend en compte l’aspect lié aux retombées, aux impacts directs sur les populations, d’où le fait qu’il va générer une chaîne des valeurs extrêmement intéressante pour l’émergence de ce pays.
Michaëlle Jean estime par ailleurs que le tronçon Thiès-Tambacounda-Kidira est fondamental, car c’est par là que transitent beaucoup de matières premières et l’objectif est que dans les 2 ou 3 prochaines années, le projet avance véritablement.
« L’As »
La mobilité, la capacité de transporter des marchandises, avec le chemin de fer qui permet un plus grand tonnage à l’essieu, une plus grande capacité de transporter des matériaux lourds, sont des facteurs pouvant imprimer un tournant au Sénégal et dans toute la sous-région, d’autant plus que la projection par rapport à ce projet est sous-régionale, pouvant aller jusqu’au Niger.
Selon elle, le Canada s’est construit autour du chemin de fer, du Sud au Nord, d’Est en Ouest. A l’origine du développement de tous ses territoires, de toutes ses provinces, il y a le chemin de fer, le transport de marchandises, le transport de personnes dans de meilleures conditions.
Elle renseigne qu’avec ce partenariat, le Canada apporte des garanties aboutissant à zéro endettement pour l’Etat sénégalais, avec des redevances qui vont aussi vers l’Etat du Sénégal. C’est cela le véritable partenariat parce qu’on est dans la réciprocité. C’est donc un partenariat gagnant-gagnant, dont la mise en oeuvre prend en compte l’aspect lié aux retombées, aux impacts directs sur les populations, d’où le fait qu’il va générer une chaîne des valeurs extrêmement intéressante pour l’émergence de ce pays.
Michaëlle Jean estime par ailleurs que le tronçon Thiès-Tambacounda-Kidira est fondamental, car c’est par là que transitent beaucoup de matières premières et l’objectif est que dans les 2 ou 3 prochaines années, le projet avance véritablement.
« L’As »