Tout commence en février 2011 quand la victime, une dame, remet ses bijoux au prévenu qui prétend être un bijoutier et lui demande de les nettoyer et de réparer le crochet de sa chaînette. Mais la femme ne reverra plus ses parures dont la valeur est estimée à 350.000 francs Cfa.
L’autre victime, quant à elle, avait remis un greffage de type cheveux naturels d’une valeur de 100. 000 francs Cfa à la copine du prévenu. Ce dernier ayant garanti qu’il allait payer cette somme à son retour du Magal de Touba.
Mais cet engagement, le ‘’bijoutier’’ ne le tiendra jamais, prétextant qu’elle avait rompu avec sa copine. Mais la vendeuse affirme que c’est bien à sa demande qu’elle avait accepté de remettre le greffage à sa petite amie.
‘’Le jour des faits, a-t-elle raconté, il est venu avec sa copine pour me demander de donner à crédit le greffage et qu’il allait payer dans trois jours.’’
A la barre, le prévenu, âgé de 25 ans, a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Il a soutenu avoir perdu les bijoux, tout affirmant qu’il n’avait pas encore les moyens de rembourser à la victime.
Le procureur pour qui ‘’les faits son constants’’, a requis l’application de la loi. Quant à l’avocat de la défense, Me Nohine Mbodj, il a demandé une application bienveillante de la loi pénale. ‘’Il (le prévenu) a reconnu les faits depuis l’enquête préliminaire. Il est jeune et a son métier’’, a-t-il expliqué.
Par contre, ‘’ pour le greffage, la remise n’a pas été faite à mon client mais à sa copine’’, a-t-il fait remarquer.
Le tribunal, après en avoir délibéré, a reconnu le prévenu coupable d’abus de confiance pour les bijoux et l’a condamné à trois mois assortis de sursis. Mais il l’a, en revanche, relaxé pour le délit d’escroquerie.
Le prévenu devra payer 350.000 et 100.000 francs Cfa, respectivement, à la propriétaire des bijoux et à la vendeuse du greffage pour dommages et intérêts.
SOURCE:APS.SN
L’autre victime, quant à elle, avait remis un greffage de type cheveux naturels d’une valeur de 100. 000 francs Cfa à la copine du prévenu. Ce dernier ayant garanti qu’il allait payer cette somme à son retour du Magal de Touba.
Mais cet engagement, le ‘’bijoutier’’ ne le tiendra jamais, prétextant qu’elle avait rompu avec sa copine. Mais la vendeuse affirme que c’est bien à sa demande qu’elle avait accepté de remettre le greffage à sa petite amie.
‘’Le jour des faits, a-t-elle raconté, il est venu avec sa copine pour me demander de donner à crédit le greffage et qu’il allait payer dans trois jours.’’
A la barre, le prévenu, âgé de 25 ans, a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Il a soutenu avoir perdu les bijoux, tout affirmant qu’il n’avait pas encore les moyens de rembourser à la victime.
Le procureur pour qui ‘’les faits son constants’’, a requis l’application de la loi. Quant à l’avocat de la défense, Me Nohine Mbodj, il a demandé une application bienveillante de la loi pénale. ‘’Il (le prévenu) a reconnu les faits depuis l’enquête préliminaire. Il est jeune et a son métier’’, a-t-il expliqué.
Par contre, ‘’ pour le greffage, la remise n’a pas été faite à mon client mais à sa copine’’, a-t-il fait remarquer.
Le tribunal, après en avoir délibéré, a reconnu le prévenu coupable d’abus de confiance pour les bijoux et l’a condamné à trois mois assortis de sursis. Mais il l’a, en revanche, relaxé pour le délit d’escroquerie.
Le prévenu devra payer 350.000 et 100.000 francs Cfa, respectivement, à la propriétaire des bijoux et à la vendeuse du greffage pour dommages et intérêts.
SOURCE:APS.SN