Le coté social, pour ne pas dire sociologique a été bien pris en compte dans le choix de la désignation du jeune sociologue pour être en mesure non seulement d’avoir la hauteur nécessaire, mais aussi la poigne et la fermeté qui puisse permettre à la République du Sénégal de ne pas s’agenouiller. Hier tout sangalkam s’était donné rendez – vous devant l’hôtel communautaire à l‘occasion de la cérémonie de distribution de denrées alimentaires pour soutenir les familles nécessiteuses, les imams, les chefs et délégués de quartiers, l’ensemble des notables de la commune de sangalkam.
le président, entouré de son staff, a fait part de sa satisfaction sur le plan de travail entamé depuis le 09 juin dernier et qui a permis de voter le budget, de délibérer sur les taxes, sur le recrutement du personnel dont tous proviennent des trois villages, ainsi que les autorisations diverses relatives à l’appui financier des groupements sociaux, à l’allocation de subvention, de secours aux indigents, les coupes, récompenses et prix, des allocations scolaires et des frais de formation aux étudiants, la souscription aux contrats et conventions ainsi que le versement des cotisations ou contreparties.
« En attendant les vignettes, l’état civil a rouvert ses portes et les salaires du mois de juin et juillet ont été payés, parallèlement à l’immeuble qui abrite les étudiants et dont le contrat doit être redéfini. Les personnes du troisième âge continuent d’être prises en charge tandis que tout le cadre de concertation a presque fini de rencontrer le président dans son bureau pour des séances de travail. Il explique lui-même aux cameramen de canal infos news : « je remercie les populations de sangalkam qui m’ont soutenu car au début j’étais une curiosité dans cette commune car tout le monde pensait que je n’oserais venir à sangalkam, et bien je suis toujours à mon bureau car si je ne le fais pas, ce serait un abandon de poste ou un manquement grave à ma mission… »
« Je suis un agent de l’état, je ne suis que pour la république et je ne suis a sangalkam que sur le plan administratif, je m’interdit le débat politique, je ne suis dans aucun parti politique car mois je pense ce qu’on fait au Sénégal, ce n’est pas de la politique, je refuse d’insulter des gens, je refuse le mensonge et la calomnie, je refuse l’idolâtrie, je refuse la soumission aveugle. Je suis pour la politique des arguments scientifiques, des programmes, des débats d’idées fécondes, le don de soi, la discussion sur des domaines économiques, sur l’agriculture, le taux de croissance, la sécurité sociale, etc. je suis un intellectuel qui prêté le concours de sa pensée et un fonctionnaire qui veut juste travailler et rentrer à la maison, les honneurs ne m’intéressent pas…je connais ma mission, je connais mon travail, 10 ans plutôt j’étais dans une délégation spéciale et je suis dans une direction qui exécute un programme national… »
L’assistance est restée accrochée au discours du jeune sociologue qui a donné un véritable cours de démocratie, d’état de droit, de devoir du citoyen et de ses droits, allant même jusqu’à évoquer les véritables raisons de la bataille de Lat Dior contre le colonisateur blanc. Tour à tour ceux qui ont pris la parole ont salué le courage d’Aly Khoudia dont ils ignoraient aussi le fait qu’il soit fonctionnaire, disant ne l’avoir connu qu’à travers les médias et l’ont remercié pour le geste et tout le travail qu’il est entrain de mener pour participer à l’apaisement de la tension sociale, sa première mission dit- il.
Tous les chefs de village ont reçu du riz, du sucre, des dattes et du lait, et chaque village a dressé la liste des personnes nécessiteuses qui ont reçu leurs lots des mains du président lui-même. Avant la fin de la cérémonie, le président a aussi dressé la liste des investissements prévus dans les villages de ndiakhirate et de Noflaye, relativement lésés par rapport à sangalkam et qui ont pour noms des écoles élémentaires, des cases de santé, des maternités, des Darras coraniques, des marchés, l’aménagement des voies et chaussées, l’extension du réseaux électrique et du réseaux d’eau dont une circulaires du directeur de la SONEES lui est parvenue.
A la fin de la cérémonie, ce fut des ovations et des acclamations à tout rompre et le président a été assailli qui pour des audiences, qui pour le saluer et d’autres pour simplement le voir. Lorsque nous quittons les lieux, le président de la délégation spéciale s’entretenait avec la RTS.
le président, entouré de son staff, a fait part de sa satisfaction sur le plan de travail entamé depuis le 09 juin dernier et qui a permis de voter le budget, de délibérer sur les taxes, sur le recrutement du personnel dont tous proviennent des trois villages, ainsi que les autorisations diverses relatives à l’appui financier des groupements sociaux, à l’allocation de subvention, de secours aux indigents, les coupes, récompenses et prix, des allocations scolaires et des frais de formation aux étudiants, la souscription aux contrats et conventions ainsi que le versement des cotisations ou contreparties.
« En attendant les vignettes, l’état civil a rouvert ses portes et les salaires du mois de juin et juillet ont été payés, parallèlement à l’immeuble qui abrite les étudiants et dont le contrat doit être redéfini. Les personnes du troisième âge continuent d’être prises en charge tandis que tout le cadre de concertation a presque fini de rencontrer le président dans son bureau pour des séances de travail. Il explique lui-même aux cameramen de canal infos news : « je remercie les populations de sangalkam qui m’ont soutenu car au début j’étais une curiosité dans cette commune car tout le monde pensait que je n’oserais venir à sangalkam, et bien je suis toujours à mon bureau car si je ne le fais pas, ce serait un abandon de poste ou un manquement grave à ma mission… »
« Je suis un agent de l’état, je ne suis que pour la république et je ne suis a sangalkam que sur le plan administratif, je m’interdit le débat politique, je ne suis dans aucun parti politique car mois je pense ce qu’on fait au Sénégal, ce n’est pas de la politique, je refuse d’insulter des gens, je refuse le mensonge et la calomnie, je refuse l’idolâtrie, je refuse la soumission aveugle. Je suis pour la politique des arguments scientifiques, des programmes, des débats d’idées fécondes, le don de soi, la discussion sur des domaines économiques, sur l’agriculture, le taux de croissance, la sécurité sociale, etc. je suis un intellectuel qui prêté le concours de sa pensée et un fonctionnaire qui veut juste travailler et rentrer à la maison, les honneurs ne m’intéressent pas…je connais ma mission, je connais mon travail, 10 ans plutôt j’étais dans une délégation spéciale et je suis dans une direction qui exécute un programme national… »
L’assistance est restée accrochée au discours du jeune sociologue qui a donné un véritable cours de démocratie, d’état de droit, de devoir du citoyen et de ses droits, allant même jusqu’à évoquer les véritables raisons de la bataille de Lat Dior contre le colonisateur blanc. Tour à tour ceux qui ont pris la parole ont salué le courage d’Aly Khoudia dont ils ignoraient aussi le fait qu’il soit fonctionnaire, disant ne l’avoir connu qu’à travers les médias et l’ont remercié pour le geste et tout le travail qu’il est entrain de mener pour participer à l’apaisement de la tension sociale, sa première mission dit- il.
Tous les chefs de village ont reçu du riz, du sucre, des dattes et du lait, et chaque village a dressé la liste des personnes nécessiteuses qui ont reçu leurs lots des mains du président lui-même. Avant la fin de la cérémonie, le président a aussi dressé la liste des investissements prévus dans les villages de ndiakhirate et de Noflaye, relativement lésés par rapport à sangalkam et qui ont pour noms des écoles élémentaires, des cases de santé, des maternités, des Darras coraniques, des marchés, l’aménagement des voies et chaussées, l’extension du réseaux électrique et du réseaux d’eau dont une circulaires du directeur de la SONEES lui est parvenue.
A la fin de la cérémonie, ce fut des ovations et des acclamations à tout rompre et le président a été assailli qui pour des audiences, qui pour le saluer et d’autres pour simplement le voir. Lorsque nous quittons les lieux, le président de la délégation spéciale s’entretenait avec la RTS.