Le bâtonnier de l’Ordre des avocats a déploré une certaine impuissance de la justice face à l’administration. « Cette impuissance est telle qu’une autorité administrative et politique a pu déclarer sans conséquence, qu’elle n’exécuterait pas une décision de justice avant de recevoir en retour, des félicitations.
La liberté est si sacrée que la décision qui en prive un citoyen, doit provenir d’une autorité apte, qui doit se déterminer après avoir entendu le poursuivant et la personne poursuivie. L’ère du procureur tout-puissant, dont l’évocation du nom seulement fait peur, qui peut user d’un mandat de dépôt sans avoir de compte à rendre à quiconque, doit être révolue. Rien ne peut être placé au-dessus des lois et de la liberté », fustige le bâtonnier de l’Ordre des avocats.
Les Echos
La liberté est si sacrée que la décision qui en prive un citoyen, doit provenir d’une autorité apte, qui doit se déterminer après avoir entendu le poursuivant et la personne poursuivie. L’ère du procureur tout-puissant, dont l’évocation du nom seulement fait peur, qui peut user d’un mandat de dépôt sans avoir de compte à rendre à quiconque, doit être révolue. Rien ne peut être placé au-dessus des lois et de la liberté », fustige le bâtonnier de l’Ordre des avocats.
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