Pour Abdoulaye Wade, gouverner c’est se servir et servir sa famille et ceux qui les aident. Ainsi a-t-il retiré le secteur des énergies renouvelables du ministère de l’Énergie où il était censé être logé, tout comme celui des biocarburants, pour les affecter à la ministre Thérèse Coumba Diouf, qui gère, outre ces deux volets, la pisciculture. C’est une militante de la génération du concret de son fils Karim. Il faut qu’il la renforce pour se donner des chances d’être réélu.
Wade gérait le haras national. Il s’est rendu compte qu’il n’est pas un technocrate et que le filon n’est pas si rentable. Il l’a relogé dans son département naturel, qu’est l’Élevage. Et puis, Oumou Khayri Guèye Seck est à renforcer, parce qu’elle a réussi à gagner la commune d’arrondissement de Yoff, qui était entre les mains de l’opposition.
Auparavant, Wade avait corsé l’ardoise du contribuable sénégalais a créant des doublons de tous ses ministres. Chacun d’eux à son répondant au palais de la République, même si ceux-là sont payés pour ne rien faire. Sa manie à gouverner selon ses humeurs et ses intérêts du moment fâchent les bailleurs de fonds, qui l’avaient sommé de supprimer les nombreuses agences, parce qu’elles sont inutiles et grèvent le budget du pays. Mais lui est obligé de satisfaire sa clientèle politique, oubliant que les Sénégalais sont ulcérés par ses folles et puériles dépenses politiciennes. Attention à l’heure du bilan.
La Redaction xibar.net
Wade gérait le haras national. Il s’est rendu compte qu’il n’est pas un technocrate et que le filon n’est pas si rentable. Il l’a relogé dans son département naturel, qu’est l’Élevage. Et puis, Oumou Khayri Guèye Seck est à renforcer, parce qu’elle a réussi à gagner la commune d’arrondissement de Yoff, qui était entre les mains de l’opposition.
Auparavant, Wade avait corsé l’ardoise du contribuable sénégalais a créant des doublons de tous ses ministres. Chacun d’eux à son répondant au palais de la République, même si ceux-là sont payés pour ne rien faire. Sa manie à gouverner selon ses humeurs et ses intérêts du moment fâchent les bailleurs de fonds, qui l’avaient sommé de supprimer les nombreuses agences, parce qu’elles sont inutiles et grèvent le budget du pays. Mais lui est obligé de satisfaire sa clientèle politique, oubliant que les Sénégalais sont ulcérés par ses folles et puériles dépenses politiciennes. Attention à l’heure du bilan.
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