Le mathématicien de Bango, spécialiste des « équations aux dérivées partielles et contrôle des systèmes distribués », dérive et s’écrase. Le professeur de mathématiques a peur du nombre, rationnel ou irrationnel. Tailleur de pierres qui refuse la pierre taillée allez-vous me dire ! Est-ce que le système politique est bien distribué ?
Le nombre du mathématicien-politicien n’est pas celui du mathématicien-universitaire. Le nombre du mathématicien-politicien lui permet de mesurer ses militants et sympathisants et, demain, son score électoral qu’il contestera nul doute. Ce nombre, ‘souvent le signe d’une grande indigence de l’esprit’, il en sait quelque chose et sait le mesurer.
Par contre, le mathématicien-universitaire, qui utilise à profusion les médias sociaux, ne parvient pas à exprimer en nombres ses pensées. Il perd ses connaissances algébriques. Il ne critique plus une idée mais se saoule tous les jours d'attaques personnelles. Au point de ne point reconnaitre « l’honneur de l’intelligence » à de brillants universitaires, vos pairs ! Mathématicien-politicien, « l'intelligence, c'est comme les parachutes, quand on n'en a pas, on s'écrase », pour reprendre De Pierre Desproges.
Qu’il vous plaise de ne pas renouveler votre serment de fidélité ou « d’allégeance de reconnaissance au patron des seings », après s’être poliment attaché à l’enclos des « herbivores », presque durant cinq longues années.
Que me plaise votre toge qui vous déshabille si bien ; votre numéro de cirque autour du nombre. Votre posture est un refus de reconnaître la réalité traumatisante d’une majorité d’idées pour faire face à vos pétitionnaires minoritaires.
Faisons preuve de plus de retenue, de nuances, de discernement et d’un esprit plus critique pour survivre et progresser dans le système, si l’envie ne vous pousse aux dérivées partielles.
Dr Ousmane CISSE
APR
Le nombre du mathématicien-politicien n’est pas celui du mathématicien-universitaire. Le nombre du mathématicien-politicien lui permet de mesurer ses militants et sympathisants et, demain, son score électoral qu’il contestera nul doute. Ce nombre, ‘souvent le signe d’une grande indigence de l’esprit’, il en sait quelque chose et sait le mesurer.
Par contre, le mathématicien-universitaire, qui utilise à profusion les médias sociaux, ne parvient pas à exprimer en nombres ses pensées. Il perd ses connaissances algébriques. Il ne critique plus une idée mais se saoule tous les jours d'attaques personnelles. Au point de ne point reconnaitre « l’honneur de l’intelligence » à de brillants universitaires, vos pairs ! Mathématicien-politicien, « l'intelligence, c'est comme les parachutes, quand on n'en a pas, on s'écrase », pour reprendre De Pierre Desproges.
Qu’il vous plaise de ne pas renouveler votre serment de fidélité ou « d’allégeance de reconnaissance au patron des seings », après s’être poliment attaché à l’enclos des « herbivores », presque durant cinq longues années.
Que me plaise votre toge qui vous déshabille si bien ; votre numéro de cirque autour du nombre. Votre posture est un refus de reconnaître la réalité traumatisante d’une majorité d’idées pour faire face à vos pétitionnaires minoritaires.
Faisons preuve de plus de retenue, de nuances, de discernement et d’un esprit plus critique pour survivre et progresser dans le système, si l’envie ne vous pousse aux dérivées partielles.
Dr Ousmane CISSE
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