Monsieur Niasse, les cinq premiers paragraphes de votre feuillet, s’évertuent à caresser dans le sens du poil, les figures centrales de notre foi, ainsi que tout flagorneur mesquin sait bercer avant d’assener ses piques assassines que l’on voit déjà pointer. Quand vous dites que « Le Négus d’Ethiopie, contemporain du Prophète Mohamed, était traité comme s’il était musulman » je ne suis pas sur que le Négus eut apprécié, sinon monsieur, il se serait fait musulman… quand vous écrivez « Jésus est une référence centrale pour les musulmans. Il est cité pour authentifier la mission du Prophète Mohamed (psl) qu’il avait prédite. » vous assujettissez Jésus à Mohamed et, à la lecture du Coran on voit que Jésus est d’une bien plus grande Sainteté que Mohamed: Il suffit pour s’en convaincre de voir que le Coran statue que ; Jésus est le seul qui n’ait Jamais péché et que, c’est lui qui reviendra à la fin des temps… alors oui, Paix et Salut sur Mohamed. Quand au fait que « Il est cité pour authentifier la mission du Prophète Mohamed (psl) qu’il avait prédite. » nous sommes bien d’accord que vous parlez là du Coran car, nulle part dans la Bible il n’est fait mention de Mohamed, n’en déplaise à vos interprétations les plus intéressées…
Monsieur Niasse, dans votre texte je lis « Les chrétiens sont cités dans le CORAN par la Sourate 5 verset 82 comme étant les plus proches des croyants musulmans ». Sans pour autant chercher à vous offenser Monsieur, sachez que nous ne recherchons pas spécialement votre proximité. De quelle proximité parlons-nous d’ailleurs ? Proximité dogmatique ? Vous niez l’essence et le fondement de notre foi qui est que : Jésus est vrai Dieu et vrai homme, fils de Dieu, mort et ressuscité, seigneur et sauveur du monde, assis à la droite de Dieu le Père et qu’il reviendra dans sa gloire pour juger les vivants et les morts à la fin des temps. C’est là monsieur que se pose les véritables termes du dialogue des religions dont le dialogue Islamo-Chrétien : Il procède non d’une recherche de « convergences et divergences » dogmatiques ainsi que votre intitulé l’introduit ; mais d’une recherche de cohabitation paisible dans les libertés de chaque individu et groupe, malgré les différences notoires voire contraires revendiquées, assumées et reconnues de chacun.
Monsieur Niasse, par ce qui suit, vous avez durablement et profondément ravagé la vision d’érudit que j’avais de vous : « N’eût été l’empereur Constantin et le Synode de Nicée sur le polyphysisme et le monophysisme les deux religions ne feraient qu’une. » […] J’avoue que je suis resté bloqué ici plusieurs minutes à chercher des mots bienséants pour qualifier une telle affirmation. Il sera difficile à mon sens de sortir une phrase faisant étalage de plus d’ignorance sur le sujet. Vous voyez, je suis correct là. Je vais essayer de vous expliquer sans pour autant être bardant pour nos lecteurs …
D’abord, arrêtez de parler de « Synode de Nicée », il s’est tenu à Nicée dans la Turquie actuelle, de la fin mai au 25 juillet de l’an 325, le premier concile œcuménique. La différence entre synode et concile est aujourd’hui très importante et votre amalgame est plus que révélateur de votre manque de maitrise du sujet. Pour ne pas nous étaler sur ce point je vous dirais qu’un évêque peut convoquer un synode diocésain et que, le dernier concile en date est Vatican II…
Mr Niasse, pour votre gouverne, le polyphysisme est je suppose votre création personnelle puisque ; le mot en lui-même n’existe pas et, il ne fait référence à rien ni dans la Christologie, ni dans le Christianisme. Si nous devons tenter de vous suivre et essayer de saisir l’essence d’un tel concept dans ce cadre ci, votre fumeux «polyphysisme » décomposé en « poly et physisme » ferait plutôt référence au nestorianisme qui affirmait que deux personnes, l'une divine, l'autre humaine, coexistaient en Jésus-Christ. Là où vos affirmations sont très légères Monsieur NIASSE, c’est que le Nestorianisme qui est né avec son auteur Nestorius (né vers 381 - mort en 451) et patriarche de Constantinople (428-431) ; ne peut en aucun cas être associé au premier concile œcuménique de Nicée qui s’est déroulé 50 ans avant la naissance de Nestorius son auteur… le Nestorianisme a plutôt été au menu du concile d'Éphèse en l’an 431 et c’est Théodose II qui était à cette époque empereur et non Constantin Ier.
Pour ce qui est du « monophysisme », ce courant-ci a lui bel et bien existé mais Monsieur Niasse, ce qui est navrant dans votre érudition affichée est que, vous ignorez à ce que je note que, le « monophysisme » est d’apparition encore plus tardive que le Nestorianisme et ne saurait avoir été au menu du premier concile œcuménique de Nicée. C’est en effet au 5e siècle dans l'Empire Byzantin, en réaction au nestorianisme, que Eutychès et Dioscore d'Alexandrie porteurs de ce nouveau courant défendent que le Fils(Jésus) n'a qu'une seule nature et qu'elle est divine, cette dernière ayant absorbé sa nature humaine. Pour votre information, le « monophysisme » a été plutôt débattu au concile de Chalcédoine en l’an 451 excusez du peu monsieur Niasse… En fait plus d’un siècle après le concile auquel vous l’associez.
Monsieur Niasse, revenons à votre inclassable affirmation : « N’eût été l’empereur Constantin et le Synode de Nicée sur le polyphysisme et le monophysisme les deux religions ne feraient qu’une. » Nous avons déjà démontré que votre fumeux polyphysisme et le monophysisme n’ont pas été au menu de premier concile de Nicée. Pour ce qui est de « … les deux religions ne feraient qu’une. » Vous semblez totalement ignorer le but de ce concile œcuménique de Nicée et la nature des débats qui y ont eut lieu. Il eut pour objectif principal de définir l'orthodoxie de la foi, suite à la controverse soulevée par Arius sur la nature du Christ Jésus. Si vous faites bien référence à Arius plus loin dans votre article, vous semblez totalement ignorer la nature du différent qui opposait sa doctrine à celle de l’évêque d’Alexandrie ; Alexandre d'Alexandrie. Arius soutient que le fils (Jésus) ayant été créé par le Père, a pris naissance et n'est donc pas éternel, établissant ainsi une hiérarchie dans la relation Père-Fils. Alexandre d'Alexandrie lui opposait la doctrine du fils éternel, immuable et de même nature que le Père. C’est là le cœur du débat pendant le premier concile œcuménique de Nicée. Les pères conciliaires, guidés par le Saint Esprit, et à la lumière des évangiles, ont énoncé et professé la Sainte Trinité, introduisant la notion de consubstantialité faisant « le choix du mot grec homoousios, que traduit le mot français consubstantiel, censé évoquer l'unité et l'identité de substance ; s'opposant ainsi aux ariens, qui soutenaient qu'il (Le Fils Jésus) était différent, anomoios, et à ceux qui soutenaient qu'il était de substance semblable, homoiousios, mais non identique » [Ref. wikipedia].
Ainsi que vous pourrez le remarquer monsieur Niasse, aussi bien Arius que le prélat d’Alexandrie prônaient que Jésus était le Fils de Dieu ; ce que votre religion nie complètement, ce concile ne peut donc être la cause de la divergence de nos deux religions. Je voudrais à ce sujet d’ailleurs vous faire remarquer qu’aussi bien Arius, théologien et ascète chrétien libyen d'origine berbère, qu’Alexandre d’Alexandrie et ses disciples (En Egypte) étaient Africains et ont étés les principaux acteurs de ce concile fondamentale de la Chrétienté qui a défini ce qu’est notre foi : Il n’y a donc pas plus africain que le Christianisme qui a été dans son Crédo défini par des africains… pour information, Arius n’est pas mort décapité comme vous le dites dans votre texte. Il est bel et bien mort d’une violente colique, même s’il faut reconnaitre que des suspicions d’empoisonnement ont été avancées.
Monsieur Niasse ; pour ce qui est des propos insultants sur la Sainte Trinité dans votre texte, je vous renvoie à cet autre article que j’ai déjà eu à publier sur le sujet ; quand votre acolyte Abdoulaye Wade s’en est pris à notre foi nous traitant de païens adorant des statuts.
Mon cher Mr Niasse, vous dites dans votre article « L’empereur Constantin n’était qu’un païen, sa foi n’était qu’une supercherie imposée par les coupeurs de tête pour les empêcher de bien réfléchir. » Un peu de consistance monsieur ; j’ai du mal à saisir cette phrase... «les» dans « les empêcher de bien réfléchir » fait référence à qui ou quoi? Aux têtes coupées ? C’est vrai que si on coupe des têtes, elles auront du mal à bien réfléchir … voire à réfléchir tout court. Pour ce qui est de l’empereur Constantin Ier, il est notoirement connu qu’il s’est converti au Christianisme avec sa mère Hélène.
Enfin Mr Niasse, vous dites « Le premier destinataire de cette missive est le Pape François 1er » ; la destiner au Pape François vous aiderez au moins à la faire parvenir à la secrétaire au service de presse du Vatican. Elle pourra toujours vous répondre quelques amabilités et mettre le cachet du Vatican, et vous pourrez encore nous dire que le Pape vous a répondu ; si vous êtes content monsieur, nous le sommes avec vous.
Et pour finir Monsieur Niasse, je vous prie de ne voir aucune animosité dans mes propos même si votre démarche dans la forme et le fond me choque. En tant que croyant, j’aime voir des pratiquants d’autres confessions, dont l’islam, vivre pleinement leur foi et être des hommes et femmes de bien, respectant les fideles des autres confessions et vivant en paix avec tous ainsi que Dieu l’agrée. Voici cher monsieur Niasse deux citations d’un certain Mahatma Gandhi que je propose à votre réflexion :
« Ma vie est mon seul enseignement. »
« Si un homme atteint le cœur de sa propre religion, il atteint également le cœur des autres religions »
Pour nous Chrétien, le cœur de la religion c’est l’Amour et, nous témoignerons de cet amour selon qu’il est écrit « Mais sanctifiez dans vos cœurs Christ le Seigneur, étant toujours prêts à vous défendre, avec douceur et respect, devant quiconque vous demande raison de l'espérance qui est en vous. » 1 Pierre 3 :15
Guy Aris NDOUYE
gandouye@yahoo.fr
Monsieur Niasse, dans votre texte je lis « Les chrétiens sont cités dans le CORAN par la Sourate 5 verset 82 comme étant les plus proches des croyants musulmans ». Sans pour autant chercher à vous offenser Monsieur, sachez que nous ne recherchons pas spécialement votre proximité. De quelle proximité parlons-nous d’ailleurs ? Proximité dogmatique ? Vous niez l’essence et le fondement de notre foi qui est que : Jésus est vrai Dieu et vrai homme, fils de Dieu, mort et ressuscité, seigneur et sauveur du monde, assis à la droite de Dieu le Père et qu’il reviendra dans sa gloire pour juger les vivants et les morts à la fin des temps. C’est là monsieur que se pose les véritables termes du dialogue des religions dont le dialogue Islamo-Chrétien : Il procède non d’une recherche de « convergences et divergences » dogmatiques ainsi que votre intitulé l’introduit ; mais d’une recherche de cohabitation paisible dans les libertés de chaque individu et groupe, malgré les différences notoires voire contraires revendiquées, assumées et reconnues de chacun.
Monsieur Niasse, par ce qui suit, vous avez durablement et profondément ravagé la vision d’érudit que j’avais de vous : « N’eût été l’empereur Constantin et le Synode de Nicée sur le polyphysisme et le monophysisme les deux religions ne feraient qu’une. » […] J’avoue que je suis resté bloqué ici plusieurs minutes à chercher des mots bienséants pour qualifier une telle affirmation. Il sera difficile à mon sens de sortir une phrase faisant étalage de plus d’ignorance sur le sujet. Vous voyez, je suis correct là. Je vais essayer de vous expliquer sans pour autant être bardant pour nos lecteurs …
D’abord, arrêtez de parler de « Synode de Nicée », il s’est tenu à Nicée dans la Turquie actuelle, de la fin mai au 25 juillet de l’an 325, le premier concile œcuménique. La différence entre synode et concile est aujourd’hui très importante et votre amalgame est plus que révélateur de votre manque de maitrise du sujet. Pour ne pas nous étaler sur ce point je vous dirais qu’un évêque peut convoquer un synode diocésain et que, le dernier concile en date est Vatican II…
Mr Niasse, pour votre gouverne, le polyphysisme est je suppose votre création personnelle puisque ; le mot en lui-même n’existe pas et, il ne fait référence à rien ni dans la Christologie, ni dans le Christianisme. Si nous devons tenter de vous suivre et essayer de saisir l’essence d’un tel concept dans ce cadre ci, votre fumeux «polyphysisme » décomposé en « poly et physisme » ferait plutôt référence au nestorianisme qui affirmait que deux personnes, l'une divine, l'autre humaine, coexistaient en Jésus-Christ. Là où vos affirmations sont très légères Monsieur NIASSE, c’est que le Nestorianisme qui est né avec son auteur Nestorius (né vers 381 - mort en 451) et patriarche de Constantinople (428-431) ; ne peut en aucun cas être associé au premier concile œcuménique de Nicée qui s’est déroulé 50 ans avant la naissance de Nestorius son auteur… le Nestorianisme a plutôt été au menu du concile d'Éphèse en l’an 431 et c’est Théodose II qui était à cette époque empereur et non Constantin Ier.
Pour ce qui est du « monophysisme », ce courant-ci a lui bel et bien existé mais Monsieur Niasse, ce qui est navrant dans votre érudition affichée est que, vous ignorez à ce que je note que, le « monophysisme » est d’apparition encore plus tardive que le Nestorianisme et ne saurait avoir été au menu du premier concile œcuménique de Nicée. C’est en effet au 5e siècle dans l'Empire Byzantin, en réaction au nestorianisme, que Eutychès et Dioscore d'Alexandrie porteurs de ce nouveau courant défendent que le Fils(Jésus) n'a qu'une seule nature et qu'elle est divine, cette dernière ayant absorbé sa nature humaine. Pour votre information, le « monophysisme » a été plutôt débattu au concile de Chalcédoine en l’an 451 excusez du peu monsieur Niasse… En fait plus d’un siècle après le concile auquel vous l’associez.
Monsieur Niasse, revenons à votre inclassable affirmation : « N’eût été l’empereur Constantin et le Synode de Nicée sur le polyphysisme et le monophysisme les deux religions ne feraient qu’une. » Nous avons déjà démontré que votre fumeux polyphysisme et le monophysisme n’ont pas été au menu de premier concile de Nicée. Pour ce qui est de « … les deux religions ne feraient qu’une. » Vous semblez totalement ignorer le but de ce concile œcuménique de Nicée et la nature des débats qui y ont eut lieu. Il eut pour objectif principal de définir l'orthodoxie de la foi, suite à la controverse soulevée par Arius sur la nature du Christ Jésus. Si vous faites bien référence à Arius plus loin dans votre article, vous semblez totalement ignorer la nature du différent qui opposait sa doctrine à celle de l’évêque d’Alexandrie ; Alexandre d'Alexandrie. Arius soutient que le fils (Jésus) ayant été créé par le Père, a pris naissance et n'est donc pas éternel, établissant ainsi une hiérarchie dans la relation Père-Fils. Alexandre d'Alexandrie lui opposait la doctrine du fils éternel, immuable et de même nature que le Père. C’est là le cœur du débat pendant le premier concile œcuménique de Nicée. Les pères conciliaires, guidés par le Saint Esprit, et à la lumière des évangiles, ont énoncé et professé la Sainte Trinité, introduisant la notion de consubstantialité faisant « le choix du mot grec homoousios, que traduit le mot français consubstantiel, censé évoquer l'unité et l'identité de substance ; s'opposant ainsi aux ariens, qui soutenaient qu'il (Le Fils Jésus) était différent, anomoios, et à ceux qui soutenaient qu'il était de substance semblable, homoiousios, mais non identique » [Ref. wikipedia].
Ainsi que vous pourrez le remarquer monsieur Niasse, aussi bien Arius que le prélat d’Alexandrie prônaient que Jésus était le Fils de Dieu ; ce que votre religion nie complètement, ce concile ne peut donc être la cause de la divergence de nos deux religions. Je voudrais à ce sujet d’ailleurs vous faire remarquer qu’aussi bien Arius, théologien et ascète chrétien libyen d'origine berbère, qu’Alexandre d’Alexandrie et ses disciples (En Egypte) étaient Africains et ont étés les principaux acteurs de ce concile fondamentale de la Chrétienté qui a défini ce qu’est notre foi : Il n’y a donc pas plus africain que le Christianisme qui a été dans son Crédo défini par des africains… pour information, Arius n’est pas mort décapité comme vous le dites dans votre texte. Il est bel et bien mort d’une violente colique, même s’il faut reconnaitre que des suspicions d’empoisonnement ont été avancées.
Monsieur Niasse ; pour ce qui est des propos insultants sur la Sainte Trinité dans votre texte, je vous renvoie à cet autre article que j’ai déjà eu à publier sur le sujet ; quand votre acolyte Abdoulaye Wade s’en est pris à notre foi nous traitant de païens adorant des statuts.
Mon cher Mr Niasse, vous dites dans votre article « L’empereur Constantin n’était qu’un païen, sa foi n’était qu’une supercherie imposée par les coupeurs de tête pour les empêcher de bien réfléchir. » Un peu de consistance monsieur ; j’ai du mal à saisir cette phrase... «les» dans « les empêcher de bien réfléchir » fait référence à qui ou quoi? Aux têtes coupées ? C’est vrai que si on coupe des têtes, elles auront du mal à bien réfléchir … voire à réfléchir tout court. Pour ce qui est de l’empereur Constantin Ier, il est notoirement connu qu’il s’est converti au Christianisme avec sa mère Hélène.
Enfin Mr Niasse, vous dites « Le premier destinataire de cette missive est le Pape François 1er » ; la destiner au Pape François vous aiderez au moins à la faire parvenir à la secrétaire au service de presse du Vatican. Elle pourra toujours vous répondre quelques amabilités et mettre le cachet du Vatican, et vous pourrez encore nous dire que le Pape vous a répondu ; si vous êtes content monsieur, nous le sommes avec vous.
Et pour finir Monsieur Niasse, je vous prie de ne voir aucune animosité dans mes propos même si votre démarche dans la forme et le fond me choque. En tant que croyant, j’aime voir des pratiquants d’autres confessions, dont l’islam, vivre pleinement leur foi et être des hommes et femmes de bien, respectant les fideles des autres confessions et vivant en paix avec tous ainsi que Dieu l’agrée. Voici cher monsieur Niasse deux citations d’un certain Mahatma Gandhi que je propose à votre réflexion :
« Ma vie est mon seul enseignement. »
« Si un homme atteint le cœur de sa propre religion, il atteint également le cœur des autres religions »
Pour nous Chrétien, le cœur de la religion c’est l’Amour et, nous témoignerons de cet amour selon qu’il est écrit « Mais sanctifiez dans vos cœurs Christ le Seigneur, étant toujours prêts à vous défendre, avec douceur et respect, devant quiconque vous demande raison de l'espérance qui est en vous. » 1 Pierre 3 :15
Guy Aris NDOUYE
gandouye@yahoo.fr