A en croire Malick Sakho, un émigré établi à Bergamo en Italie, d’entrée de jeu, le photographe dans un ton qui en dit long sur le caractère subjectif de son récit a commencé à tirer à boulets rouges sur d’honnêtes citoyens dont le seul péché est d’avoir choisi d’aller gagner leur pain hors du pays. "Tange, ce photographe maladroit en mal de crédibilité et fidèle à sa vocation a déversé sa bile sur les émigrés en ne trouvant rien de plus beau que de les taxer d'homosexuels. Il affirme sans état-d’âme et sur un plateau de télévision de surcroît que ceux qui vivent en Europe et viennent en vacance pour faire « la pluie et le beau temps dans les milieux chics dakarois sont tous homosexuels dans les rues de l’hexagones ». Pire, comme si cela ne suffisait pas, il affirme avoir rencontré à Paris des gens qu’il a connus à Dakar complètement travestis et en bonne compagnie. Il est même allé jusqu’à dire que des Sénégalais légalement mariés au pays ont une double vie car, affirme t-il, ils ont des relations contre nature ici en Europe, en d’autres termes sont des homosexuels et ne s’en cachent pas du tout. Nous, nous disons à ce spécialiste des non événements que si ses thèses sont avérées, nous ne pouvons nous empêcher de donner raison à ceux qui le traitent de maître chanteur et non de professionnel de la communication. Car en professionnel, il aurait dû utiliser l’objectif de sa camera, comme il aime à le faire pour d’autres choses de moindre valeur, pour apporter des preuves à ses propos".
"Au Sénégal le ridicule ne tue malheureusement plus car si un type comme Tange, qui n’a jamais rien apporté à son pays sinon des polémiques stériles, qui se dit journaliste alors qu’en réalité c’est un maître chanteur, a le culot de proférer des diatribes à l’endroit de Sénégalais qui, soit ont fait leurs preuves dans les prestigieuses universités européennes ce qui leur vaut de bons postes au sein de certaines entreprises de l’hexagone et pas n’importe lesquelles, soit ont choisi tout simplement de vivre loin de leur pays et de gagner leur pain à la sueur de leur front même sans beaucoup de bagages intellectuels", c'est que le ridicule ne tue plus.
"Nous ne saurons terminer notre propos sans pour autant rappeler à cet impertinent en mal d'audience que nous sommes, c’est vrai des modou-modou et nous en sommes fiers et nous sommes également conscients que la crise a fini de mettre l’Europe entière à genou, mais nous avons encore des valeurs et des vertus auxquelles nous tenons jalousement. Mon cher « paparazzi », nous au moins nous avons pris avec courage l’option d’aller braver le froid, le racisme et la dure conjoncture pour apporter des solutions aux nombreuses questions que se posent encore nos familles respectives. Contrairement à toi qui, étant conscient de n’avoir aucun bagage te permettant de t’en sortir la tête haute, a choisi l’option la plus facile et la moins digne c’est tout simplement de faire chanter d’honnêtes citoyens ou de perturber de manière maladroite l’intimité des gens pour manger à ta faim. Je suis convaincu que la nuit tu ne dors pas sous tes lauriers car ayant dans ta conscience la conviction de te prostituer à ta manière pour survivre. Mais rassure toi car ce n’est pas de ta faute. Ta présence sur un plateau de télévision dénote un manque d’inspiration de certains qui donnent la voix à des demeurés comme toi. Mon cher, je crois que comme disait Shakespear « oh attention,,monseigneur, à la jalousie, c’est le monstre aux yeux verts qui tourmente la proie dont il se nourrit ». Je crois mon cher apprenti photographe que tu gagnerais à changer de métier".
Malick Sakho (Bergamo, Italie)
"Au Sénégal le ridicule ne tue malheureusement plus car si un type comme Tange, qui n’a jamais rien apporté à son pays sinon des polémiques stériles, qui se dit journaliste alors qu’en réalité c’est un maître chanteur, a le culot de proférer des diatribes à l’endroit de Sénégalais qui, soit ont fait leurs preuves dans les prestigieuses universités européennes ce qui leur vaut de bons postes au sein de certaines entreprises de l’hexagone et pas n’importe lesquelles, soit ont choisi tout simplement de vivre loin de leur pays et de gagner leur pain à la sueur de leur front même sans beaucoup de bagages intellectuels", c'est que le ridicule ne tue plus.
"Nous ne saurons terminer notre propos sans pour autant rappeler à cet impertinent en mal d'audience que nous sommes, c’est vrai des modou-modou et nous en sommes fiers et nous sommes également conscients que la crise a fini de mettre l’Europe entière à genou, mais nous avons encore des valeurs et des vertus auxquelles nous tenons jalousement. Mon cher « paparazzi », nous au moins nous avons pris avec courage l’option d’aller braver le froid, le racisme et la dure conjoncture pour apporter des solutions aux nombreuses questions que se posent encore nos familles respectives. Contrairement à toi qui, étant conscient de n’avoir aucun bagage te permettant de t’en sortir la tête haute, a choisi l’option la plus facile et la moins digne c’est tout simplement de faire chanter d’honnêtes citoyens ou de perturber de manière maladroite l’intimité des gens pour manger à ta faim. Je suis convaincu que la nuit tu ne dors pas sous tes lauriers car ayant dans ta conscience la conviction de te prostituer à ta manière pour survivre. Mais rassure toi car ce n’est pas de ta faute. Ta présence sur un plateau de télévision dénote un manque d’inspiration de certains qui donnent la voix à des demeurés comme toi. Mon cher, je crois que comme disait Shakespear « oh attention,,monseigneur, à la jalousie, c’est le monstre aux yeux verts qui tourmente la proie dont il se nourrit ». Je crois mon cher apprenti photographe que tu gagnerais à changer de métier".
Malick Sakho (Bergamo, Italie)