Destination Ndiamacouta. Après le passage de quelques postes de contrôle de la police gambienne, au dispositif très allégé, depuis l’avènement d’Adama Barrow, on arrive à Sara Alkali.
Il faut alors emprunter une piste, traverser quelques villages gambiens pendant une trentaine de minutes, avant d’arriver à Ndiamacouta. Dans cette localité nouvellement érigée en commune depuis l’acte 3 de la Décentralisation, les jolies bâtisses cachent mal les difficultés auxquelles sont confrontées les 10 000 âmes qui y vivent. Elles ont pour noms : problèmes d’approvisionnement en eau courante, en électricité, et un système sanitaire déficient. Les élèves éprouvent également d’énormes difficultés à étudier dans des conditions décentes.
Il faut alors emprunter une piste, traverser quelques villages gambiens pendant une trentaine de minutes, avant d’arriver à Ndiamacouta. Dans cette localité nouvellement érigée en commune depuis l’acte 3 de la Décentralisation, les jolies bâtisses cachent mal les difficultés auxquelles sont confrontées les 10 000 âmes qui y vivent. Elles ont pour noms : problèmes d’approvisionnement en eau courante, en électricité, et un système sanitaire déficient. Les élèves éprouvent également d’énormes difficultés à étudier dans des conditions décentes.