«C’est avec amertume, indignation et consternation que le SAES a suivi les évènements d’hier relatifs à la marche des enseignants du « G6 » sévèrement réprimée par les forces de l’ordre », déclare le Syndicat Autonome des enseignants du Supérieur dans un communiqué parvenu à Leral.
Le SAES estime que « ce n’est ni dans la terreur ni dans l’intimidation » que la crise scolaire sera réglée. « Aucune solution viable ne pourra être trouvée sans un dialogue sincère sous-tendu par un respect scrupuleux de la dignité du corps enseignant », avertit le Syndicat.
Interdite par le préfet la veille puis autorisée, la marche des enseignants tenue ce jeudi à Ziguinchor a été durement réprimée par les forces de l’ordre déployées en grand nombre dans les différentes artères de la commune. Plusieurs enseignants ont été blessés et d’autres arrêtés avant d’être libérés.
A cet effet, le SAES demande à l’administration à la « neutralité, l’impartialité » et « au respect de la déontologie qui font partie des fondements de la République ».
Il invite les forces de l’ordre à « faire preuve de retenue et de respect de la dignité des citoyens et que nous sommes ».
Par ailleurs, le SAES appelle « toutes les forces vives de la nation, les acteurs et le gouvernement à se retrouver autour d’une table, pour un règlement définitif de toutes les questions qui font l’objet de crispations ».
Le SAES estime que « ce n’est ni dans la terreur ni dans l’intimidation » que la crise scolaire sera réglée. « Aucune solution viable ne pourra être trouvée sans un dialogue sincère sous-tendu par un respect scrupuleux de la dignité du corps enseignant », avertit le Syndicat.
Interdite par le préfet la veille puis autorisée, la marche des enseignants tenue ce jeudi à Ziguinchor a été durement réprimée par les forces de l’ordre déployées en grand nombre dans les différentes artères de la commune. Plusieurs enseignants ont été blessés et d’autres arrêtés avant d’être libérés.
A cet effet, le SAES demande à l’administration à la « neutralité, l’impartialité » et « au respect de la déontologie qui font partie des fondements de la République ».
Il invite les forces de l’ordre à « faire preuve de retenue et de respect de la dignité des citoyens et que nous sommes ».
Par ailleurs, le SAES appelle « toutes les forces vives de la nation, les acteurs et le gouvernement à se retrouver autour d’une table, pour un règlement définitif de toutes les questions qui font l’objet de crispations ».