Dans une déclaration dont copie nous est parvenues, Me Tine soutien que ce collectif aura une double mission : "apporter une assistance juridique et judiciaire aux victimes d’une part et d’autre part leur trouver un soutien matériel et psychologique". L'avocat invite également les pouvoirs publics sénégalais à procéder à une prise en charge médicale et psychologique adéquate de tous les étudiants victimes et de leur faciliter l’accès à des services sociaux.
Il rappelle que ce qui s’est passé le jeudi 14 août 2014 à l’UCAD est tout simplement inacceptable.
C’est pourquoi, il invite le Président Macky Sall à condamner ouvertement et fermement cette forme de recours excessif et disproportionné à la force policière contre des jeunes civils non armés. Me Aboulaye Tine invite également le chef de l’Etat et son Gouvernement à veiller au contrôle efficace des forces de sécurité et de défense par l’autorité civile d’une part et d’autre part à donner aux étudiants des garanties de non répétition de ces exactions policières qui sont récurrentes au sein du campus.
Il appelle donc tous les protagonistes de la crise universitaire, aussi bien les étudiants que les pouvoirs publics, à privilégier le dialogue et la concertation à l'exclusion du recours à toute forme de violence.
Enfin, Me Tine dénonce fermement ces actes de violence policières contre les étudiants et exige de l’Etat du Sénégal l’ouverture d'enquêtes indépendantes pour faire la lumière sur tous ces actes de violences policières afin d’identifier les responsables et de les traduire en justice dans les meilleurs délais conformément à la Loi.
Le document précise que Me Abdoulaye Tine a été d’ores et déjà mandaté par des étudiants blessés graves (des victimes amputées ou ayant été atteint par des tirs de balles) pour ainsi assurer la défense de leurs intérêts devant les juridictions sénégalaises.
"Il faut noter que ce sont des leaders du mouvement étudiant qui ont décidé cette fois de s’attacher des services de Me Tine afin que justice soit rendue à tous leurs camarades, qu’ils soient décédés comme Bassirou Faye, victimes de préjudice physique ou encore de préjudice matériel notamment la destruction de leurs biens personnels.
Ils indiquent vouloir ainsi mettre un terme à l’impunité dont les auteurs de ces exactions continuent encore à bénéficier dans le cadre de leurs "interventions sanglantes" au sein du campus universitaire", indique le texte.
Il rappelle que ce qui s’est passé le jeudi 14 août 2014 à l’UCAD est tout simplement inacceptable.
C’est pourquoi, il invite le Président Macky Sall à condamner ouvertement et fermement cette forme de recours excessif et disproportionné à la force policière contre des jeunes civils non armés. Me Aboulaye Tine invite également le chef de l’Etat et son Gouvernement à veiller au contrôle efficace des forces de sécurité et de défense par l’autorité civile d’une part et d’autre part à donner aux étudiants des garanties de non répétition de ces exactions policières qui sont récurrentes au sein du campus.
Il appelle donc tous les protagonistes de la crise universitaire, aussi bien les étudiants que les pouvoirs publics, à privilégier le dialogue et la concertation à l'exclusion du recours à toute forme de violence.
Enfin, Me Tine dénonce fermement ces actes de violence policières contre les étudiants et exige de l’Etat du Sénégal l’ouverture d'enquêtes indépendantes pour faire la lumière sur tous ces actes de violences policières afin d’identifier les responsables et de les traduire en justice dans les meilleurs délais conformément à la Loi.
Le document précise que Me Abdoulaye Tine a été d’ores et déjà mandaté par des étudiants blessés graves (des victimes amputées ou ayant été atteint par des tirs de balles) pour ainsi assurer la défense de leurs intérêts devant les juridictions sénégalaises.
"Il faut noter que ce sont des leaders du mouvement étudiant qui ont décidé cette fois de s’attacher des services de Me Tine afin que justice soit rendue à tous leurs camarades, qu’ils soient décédés comme Bassirou Faye, victimes de préjudice physique ou encore de préjudice matériel notamment la destruction de leurs biens personnels.
Ils indiquent vouloir ainsi mettre un terme à l’impunité dont les auteurs de ces exactions continuent encore à bénéficier dans le cadre de leurs "interventions sanglantes" au sein du campus universitaire", indique le texte.