Dans le département de Foundiougne qui marque le redémarrage de ses activités, la caravane de Jamm ak Njarin a pris d’assaut la commune frontalière de Karang, où un accueil festif lui a été réservé.
Un vibrant et sincère accueil qui témoigne de l’espoir que l’ancien Premier ministre suscite dans cette contrée du Saloum, comme, c’est du reste, le cas partout ailleurs au Sénégal. Une déferlante qui, aux yeux de beaucoup, traduit la détermination des populations à rectifier le tir après la présidentielle, pour construire un avenir uni et prospère avec Jamm ak Njarin.
Dans ce lointain coin du bassin arachidier, il était quasi impensable qu’Amadou Ba omette le sujet de la culture et de la commercialisation de l’arachide. Il déclare à ce propos qu’on lui a appris que cette année les récoltes ne seront pas bonnes. Plus graves même, les nouvelles autorités ont pris une décision interdisant l’exportation. Et pourtant il y a des préalables à une pareille mesure qui consiste à fixer le prix du kilogramme de l’arachide. Ce qui n’est pas encore le cas. «J’attendais la prise de parole du gouvernement pour me prononcer sur la question. Leur silence est intriguant voir inquiétant».
Toujours, dans la dynamique de la réduction des difficultés liées à la vie dans le monde rural, Amadou Ba n’a pas pris de gants pour s’insurger contre la rareté pour ne pas dire le manque d’eau dans certaines zones, comme Karang. «Lors de la présidentielle j’avais promis l’accès universel à l’eau dans les trois premières années de mon magistère. Une fois à l’Assemblée nationale, nous nous emploierons à faire de cette doléance des populations rurales, un vieux souvenir. Pour ce faire, donnez une majorité confortable à notre coalition à l’issue du scrutin législatif du 17 février 2024.
Très en verve, sans doute pour marquer son retour dans la course vers l’hémicycle, Amadou Ba, aborde le sujet de la femme, des jeunes et du troisième âge. Il renseigne que sa coalition avec l’appui et le soutien de ses futurs collègues députés, œuvrera à conforter le rôle de la femme dans nos sociétés, en leur dotant de moyens conséquents pour leur épanouissement.
Amadou Ba rappelle, en passant que le projet de la «Banque pour la jeunesse , les femmes et le troisième âge a été remis au pouvoir. «Les dossiers sont déjà ficelés. Ils dorment malheureusement dans les tiroirs. Il ne reste plus que la mise en œuvre. S’ils n’y parviennent pas, qu’ils mettent leur orgueil de côté, pour se rapprocher de nous et on leur dira comment faire» conclut le Président de Jamm ak Njarin.
Un vibrant et sincère accueil qui témoigne de l’espoir que l’ancien Premier ministre suscite dans cette contrée du Saloum, comme, c’est du reste, le cas partout ailleurs au Sénégal. Une déferlante qui, aux yeux de beaucoup, traduit la détermination des populations à rectifier le tir après la présidentielle, pour construire un avenir uni et prospère avec Jamm ak Njarin.
Dans ce lointain coin du bassin arachidier, il était quasi impensable qu’Amadou Ba omette le sujet de la culture et de la commercialisation de l’arachide. Il déclare à ce propos qu’on lui a appris que cette année les récoltes ne seront pas bonnes. Plus graves même, les nouvelles autorités ont pris une décision interdisant l’exportation. Et pourtant il y a des préalables à une pareille mesure qui consiste à fixer le prix du kilogramme de l’arachide. Ce qui n’est pas encore le cas. «J’attendais la prise de parole du gouvernement pour me prononcer sur la question. Leur silence est intriguant voir inquiétant».
Toujours, dans la dynamique de la réduction des difficultés liées à la vie dans le monde rural, Amadou Ba n’a pas pris de gants pour s’insurger contre la rareté pour ne pas dire le manque d’eau dans certaines zones, comme Karang. «Lors de la présidentielle j’avais promis l’accès universel à l’eau dans les trois premières années de mon magistère. Une fois à l’Assemblée nationale, nous nous emploierons à faire de cette doléance des populations rurales, un vieux souvenir. Pour ce faire, donnez une majorité confortable à notre coalition à l’issue du scrutin législatif du 17 février 2024.
Très en verve, sans doute pour marquer son retour dans la course vers l’hémicycle, Amadou Ba, aborde le sujet de la femme, des jeunes et du troisième âge. Il renseigne que sa coalition avec l’appui et le soutien de ses futurs collègues députés, œuvrera à conforter le rôle de la femme dans nos sociétés, en leur dotant de moyens conséquents pour leur épanouissement.
Amadou Ba rappelle, en passant que le projet de la «Banque pour la jeunesse , les femmes et le troisième âge a été remis au pouvoir. «Les dossiers sont déjà ficelés. Ils dorment malheureusement dans les tiroirs. Il ne reste plus que la mise en œuvre. S’ils n’y parviennent pas, qu’ils mettent leur orgueil de côté, pour se rapprocher de nous et on leur dira comment faire» conclut le Président de Jamm ak Njarin.