Les recettes budgétaires sont projetées à 1679,7 milliards FCfa contre 1548 milliards FCfa en 2014. Ce qui annonce une progression de l’ordre de 9,5%. Cette hausse est due, d’après les services du ministère des Finances, par le fait des recettes fiscales qui devraient s’accroître de 9,8% pour se situer à 1601 milliards FCfa. Cette tendance haussière sera aussi notée dans la rubrique des recettes non fiscales qui devraient s’établir à 78 milliards FCfa. Au total, la pression fiscale est projetée à 18,8% en 2015, soit au même niveau qu’en 2014.
Au même titre que les ressources budgétaires, les dépenses totales prévues pour 2015 vont aussi accroître. Elles sont projetées à 2358,7 milliards FCfa contre 2201,7 milliards FCfa en 2014. Soit une progression de 155 milliards FCfa. Une progression tirée par l’investissement, les charges d’intérêt sur la dette publique et la masse salariale. Les dépenses d’investissement devraient passer de 888 milliards FCfa en 2014 à 999,5 milliards FCfa en 2015.
Ce qui reflète l’engagement soutenu dans le cadre du Pse d’insuffler une forte dynamique aux investissements structurants. Les dépenses courantes sont estimées à 1359,2 milliards en 2015 contre 1306,7 milliards pour l’année précédente. Quant à la masse salariale, elle est fixée à 24,5 milliards FCfa. Pour leur part, les dépenses de fonctionnement, projetées à 701 milliards FCfa en 2015, ne progressent que de 7 milliards (soit 1%), traduisant les avancées significatives dans le processus de rationalisation des dépenses comme la réduction des factures téléphoniques de 22 à 11 milliards FCfa ainsi que des logements conventionnées.
Au même titre que les ressources budgétaires, les dépenses totales prévues pour 2015 vont aussi accroître. Elles sont projetées à 2358,7 milliards FCfa contre 2201,7 milliards FCfa en 2014. Soit une progression de 155 milliards FCfa. Une progression tirée par l’investissement, les charges d’intérêt sur la dette publique et la masse salariale. Les dépenses d’investissement devraient passer de 888 milliards FCfa en 2014 à 999,5 milliards FCfa en 2015.
Ce qui reflète l’engagement soutenu dans le cadre du Pse d’insuffler une forte dynamique aux investissements structurants. Les dépenses courantes sont estimées à 1359,2 milliards en 2015 contre 1306,7 milliards pour l’année précédente. Quant à la masse salariale, elle est fixée à 24,5 milliards FCfa. Pour leur part, les dépenses de fonctionnement, projetées à 701 milliards FCfa en 2015, ne progressent que de 7 milliards (soit 1%), traduisant les avancées significatives dans le processus de rationalisation des dépenses comme la réduction des factures téléphoniques de 22 à 11 milliards FCfa ainsi que des logements conventionnées.