« En effet, depuis près de huit mois, nous professeurs vacataires officiant à l´UCAD, courons toujours derrière nos maigres émoluments. Ainsi donc, nous demandons à l'État, particulièrement au ministère des Finances et au ministère de l'Enseignement supérieur, de prendre des mesures diligentes pour le paiement sans délai de notre dû, surtout que nous nous sommes acquittés de toutes nos charges d'enseignement, d'évaluation et de reddition des notes d'examen », ont-ils clamé.
Dans une position plus catégorique, le Collectif martèle : « Nous tenons à informer les autorités que ne démarrerons pas les cours de la nouvelle rentrée tant que nous n'aurons pas perçu nos émoluments et prenons à témoin l'opinion, que nous ne serons aucunement responsables d'une éventuelle perturbation ».
Une urgence est alors signalée !
Dans une position plus catégorique, le Collectif martèle : « Nous tenons à informer les autorités que ne démarrerons pas les cours de la nouvelle rentrée tant que nous n'aurons pas perçu nos émoluments et prenons à témoin l'opinion, que nous ne serons aucunement responsables d'une éventuelle perturbation ».
Une urgence est alors signalée !