Selon le président de cette association, Pèdre Ndiaye, "une telle mesure permet de protéger les enfants contre les pratiques de certains maîtres coraniques qui les poussent à mendier pour leur propre compte sans pour autant leur garantir un enseignement coranique viable".
En effet, "outre les enfants en rupture avec la société, la plupart des enfants de la rue sont issus d’écoles coraniques qui sont devenues un véritable business au point d’attirer de nombreux ressortissant de certains pays limitrophes", a dit M. Ndiaye dans un communiqué parvenu à la rédaction. "Nous demandons aux associations des maîtres coraniques, à la société civile et aux parents d’accompagner cette décision du président de la République et de démasquer les auteurs de ces agissements qui ternissent l’image de vaillants éducateur émérites et donnent l’occasion aux esprits malveillants de dénigrer et de stigmatiser l’Islam et l’héritage extraordinaire légué par nos guides religieux dont les daaras sont de véritables référence", indique le document.
Convaincu que lutter contre le phénomène des enfants de la rue revient à les protéger, leur assurer un meilleur avenir, M. Ndiaye et ses camarades trouvent, cependant, que, pour y arriver, Il faudrait des mesures d’accompagnement conséquentes de la part de l’Etat et des autres entités intervenant dans ce domaine.
Mariama Kobar Saleh
En effet, "outre les enfants en rupture avec la société, la plupart des enfants de la rue sont issus d’écoles coraniques qui sont devenues un véritable business au point d’attirer de nombreux ressortissant de certains pays limitrophes", a dit M. Ndiaye dans un communiqué parvenu à la rédaction. "Nous demandons aux associations des maîtres coraniques, à la société civile et aux parents d’accompagner cette décision du président de la République et de démasquer les auteurs de ces agissements qui ternissent l’image de vaillants éducateur émérites et donnent l’occasion aux esprits malveillants de dénigrer et de stigmatiser l’Islam et l’héritage extraordinaire légué par nos guides religieux dont les daaras sont de véritables référence", indique le document.
Convaincu que lutter contre le phénomène des enfants de la rue revient à les protéger, leur assurer un meilleur avenir, M. Ndiaye et ses camarades trouvent, cependant, que, pour y arriver, Il faudrait des mesures d’accompagnement conséquentes de la part de l’Etat et des autres entités intervenant dans ce domaine.
Mariama Kobar Saleh