Et lorsque la presse le rappelle à la réalité des mœurs dépravées de son régime et des relations névrotiques qu’il a toujours entretenues avec l’argent, il n’a d’autres ressources que de s’énerver et perdre ses moyens. Pourtant, nonobstant les poursuites et sanctions légitimes et méritées qui, seules, laveront l’indignité dont il couvre la fonction présidentielle par la violation de son serment constitutionnel, le moins qu’on puisse attendre de lui est qu’il adresse ses excuses les plus plates aux Sénégalaises et Sénégalais qu’il a blessés et dont la confiance et le mandat ont été trahis.
Plus grave, au moment où les cendres du déni de gestion de l’ANOCI par son fils biologique, sont encore fumantes, le voilà qui s’en va ce 4 novembre à Thiès solder avec le fils d’emprunt, les sordides comptes à milliards qui les opposaient, il n’y a guère longtemps, dans une bataille à mort. Mais ces retrouvailles en grandes pompes ne feront jamais oublier les échanges sur des accusations, à ce jour non élucidées, de détournement de deniers publics et d’escroquerie, et surtout la tristement fameuse phrase lâchée par Abdoulaye WADE au moment où il venait d’entamer son mandat comme troisième Président de la République du Sénégal : « nos ennuis d’argent sont terminés ». Faut-il rappeler que ces propos ont été tenus à son ancien Premier Ministre qui les a rendus publics et n’ont jamais été démentis.
Par ailleurs, la BCEAO doit éclairer l’opinion sur la détention par Abdoulaye Wade d’importantes devises en violation de la réglementation bancaire sur la détention de devises dans l’espace UEMOA et dire clairement aux Sénégalais si les devises en question ont été échangées par ses soins.
Dans le même ordre d’idées, le FMI et les autres partenaires bilatéraux et multilatéraux du Sénégal ne sauraient passer par pertes et profits cette grave et historique tentative de corruption, sans cautionner les malversations passées et à venir, et donner ainsi un blanc seing au dévoiement des ressources des contribuables. Il s’agit là d’une crainte légitime puisque jusqu’ici le FMI n’a pas officiellement condamné la tentative de corruption de son agent par Abdoulaye Wade.
Le Parti Socialiste invite, une nouvelle fois, le FMI et les institutions de coopération bilatérale et multilatérale à prendre des sanctions exemplaires à l’encontre d’Abdoulaye WADE après avoir clarifié les zones d’ombre qui couvrent encore cette affaire. Il y va de leur crédibilité et de l’autorité de leurs discours et résolutions dans la lutte contre la mal gouvernance et le fléau de la corruption.
Cette exigence est tout aussi valable pour ce qui concerne la gestion de l’ANOCI dont les institutions de Bretton Woods, FMI et Banque Mondiale, ne sauraient se désintéresser sous le seul prétexte qu’elles n’en auraient pas financé les travaux, car en dernière instance, elles ont, indirectement et par substitution de dépenses, contribué aux extravagances de cette agence.
Plus grave, au moment où les cendres du déni de gestion de l’ANOCI par son fils biologique, sont encore fumantes, le voilà qui s’en va ce 4 novembre à Thiès solder avec le fils d’emprunt, les sordides comptes à milliards qui les opposaient, il n’y a guère longtemps, dans une bataille à mort. Mais ces retrouvailles en grandes pompes ne feront jamais oublier les échanges sur des accusations, à ce jour non élucidées, de détournement de deniers publics et d’escroquerie, et surtout la tristement fameuse phrase lâchée par Abdoulaye WADE au moment où il venait d’entamer son mandat comme troisième Président de la République du Sénégal : « nos ennuis d’argent sont terminés ». Faut-il rappeler que ces propos ont été tenus à son ancien Premier Ministre qui les a rendus publics et n’ont jamais été démentis.
Par ailleurs, la BCEAO doit éclairer l’opinion sur la détention par Abdoulaye Wade d’importantes devises en violation de la réglementation bancaire sur la détention de devises dans l’espace UEMOA et dire clairement aux Sénégalais si les devises en question ont été échangées par ses soins.
Dans le même ordre d’idées, le FMI et les autres partenaires bilatéraux et multilatéraux du Sénégal ne sauraient passer par pertes et profits cette grave et historique tentative de corruption, sans cautionner les malversations passées et à venir, et donner ainsi un blanc seing au dévoiement des ressources des contribuables. Il s’agit là d’une crainte légitime puisque jusqu’ici le FMI n’a pas officiellement condamné la tentative de corruption de son agent par Abdoulaye Wade.
Le Parti Socialiste invite, une nouvelle fois, le FMI et les institutions de coopération bilatérale et multilatérale à prendre des sanctions exemplaires à l’encontre d’Abdoulaye WADE après avoir clarifié les zones d’ombre qui couvrent encore cette affaire. Il y va de leur crédibilité et de l’autorité de leurs discours et résolutions dans la lutte contre la mal gouvernance et le fléau de la corruption.
Cette exigence est tout aussi valable pour ce qui concerne la gestion de l’ANOCI dont les institutions de Bretton Woods, FMI et Banque Mondiale, ne sauraient se désintéresser sous le seul prétexte qu’elles n’en auraient pas financé les travaux, car en dernière instance, elles ont, indirectement et par substitution de dépenses, contribué aux extravagances de cette agence.