« Quand vous êtes dans un bureau dans une grande agence en Angleterre ou aux Etats-Unis, c’est très facile de dire on ne paie pas. A partir du moment où vous êtes proche des familles et vous êtes vous-même président du comité de soutien, votre position vous oblige à dire 'Payez ! Faites les sortir'. C’est une position qui est légitime ».
Avec la Grande-Bretagne, l’Algérie est un des rares pays qui se dit ouvertement contre le versement d’argent pour obtenir la liberation d’un otage.
Il n'y a pas à tergiverser. C'est un principe sacré, explique Saïda Benhabylès, présidente de la Fédération internationale des victimes du terrorisme. « C’est un jeu simple : on enlève, on fait du chantage et on perçoit de l’argent. Cet argent sert à acheter des armes. Cela devient une culture qui renforce le terrorisme. Donc, il faudrait avoir le courage d’appliquer ce principe sacré. Pour moi c’est un principe sacré ».
Cette ex-ministre algérienne demande la solidarité de tous les pays concernés sur le sujet et appelle aussi les chaînes de télévision comme al-Jazira à ne plus offrir de tribunes aux terroristes via la diffusion de leurs revendications.
Avec la Grande-Bretagne, l’Algérie est un des rares pays qui se dit ouvertement contre le versement d’argent pour obtenir la liberation d’un otage.
Il n'y a pas à tergiverser. C'est un principe sacré, explique Saïda Benhabylès, présidente de la Fédération internationale des victimes du terrorisme. « C’est un jeu simple : on enlève, on fait du chantage et on perçoit de l’argent. Cet argent sert à acheter des armes. Cela devient une culture qui renforce le terrorisme. Donc, il faudrait avoir le courage d’appliquer ce principe sacré. Pour moi c’est un principe sacré ».
Cette ex-ministre algérienne demande la solidarité de tous les pays concernés sur le sujet et appelle aussi les chaînes de télévision comme al-Jazira à ne plus offrir de tribunes aux terroristes via la diffusion de leurs revendications.