Lors d’un récent point de presse, Mactar Thiaw, formateur à l'Inefja et porte-parole du jour des travailleurs dudit institut, a souligné qu’il s’agit d’une deuxième sortie et que, depuis le mois de juin dernier, ils font des démarches pour obtenir une revalorisation salariale
“Nous avons adressé plusieurs correspondances au président de la République Macky Sall, au Premier ministre, au ministre des Finances et à celui de l'Éducation nationale ainsi aux autorités locales à Thiès, pour une revalorisation salariale, mais jusqu'à présent, la situation n’a pas évolué”, se désole-t-il.
Mactar Thiaw informe : “Nous sommes les travailleurs en service composés de cuisiniers, de chauffeurs, de surveillants, de lingères, de formateurs et d'éducateurs périscolaires, en plus des techniciens de surface de l'Institut”.
Cette semaine, ces travailleurs annoncent avoir “déposé des courriers au niveau de la Gouvernance et de l'Inspection d’Académie, pour informer qui de droit”. Ils sont d’avis que “le problème ne dépend pas de la direction de l’école, car il lui faut une rallonge budgétaire pour pouvoir prendre en charge l'augmentation des salaires". Donc, elle fait face à un blocage, un frein pour satisfaire à leur demande.
Toutefois, ces travailleurs de l'Inefja, au nombre de 18, nourrissent un immense espoir, après avoir, disent-ils, appris “l'augmentation des salaires des maires”, sans compter “les 10 % au profit des retraités de l'Ipres”, entre autres secteurs. Aussi, se demandent-ils, “pourquoi pas une augmentation salariale pour le personnel de l'Inefja, qui mérite cela, pour l'excellent travail abattu sur le terrain, parce que sans ces travailleurs, l'école ne pourra pas fonctionner”.
Aujourd'hui, font savoir les travailleurs de l’Inefja, ils lancent un vibrant appel au président de la République, au Premier ministre, aux ministres des Finances et de l'Éducation, pour leur demander de débloquer la situation.
“Nous avons adressé plusieurs correspondances au président de la République Macky Sall, au Premier ministre, au ministre des Finances et à celui de l'Éducation nationale ainsi aux autorités locales à Thiès, pour une revalorisation salariale, mais jusqu'à présent, la situation n’a pas évolué”, se désole-t-il.
Mactar Thiaw informe : “Nous sommes les travailleurs en service composés de cuisiniers, de chauffeurs, de surveillants, de lingères, de formateurs et d'éducateurs périscolaires, en plus des techniciens de surface de l'Institut”.
Cette semaine, ces travailleurs annoncent avoir “déposé des courriers au niveau de la Gouvernance et de l'Inspection d’Académie, pour informer qui de droit”. Ils sont d’avis que “le problème ne dépend pas de la direction de l’école, car il lui faut une rallonge budgétaire pour pouvoir prendre en charge l'augmentation des salaires". Donc, elle fait face à un blocage, un frein pour satisfaire à leur demande.
Toutefois, ces travailleurs de l'Inefja, au nombre de 18, nourrissent un immense espoir, après avoir, disent-ils, appris “l'augmentation des salaires des maires”, sans compter “les 10 % au profit des retraités de l'Ipres”, entre autres secteurs. Aussi, se demandent-ils, “pourquoi pas une augmentation salariale pour le personnel de l'Inefja, qui mérite cela, pour l'excellent travail abattu sur le terrain, parce que sans ces travailleurs, l'école ne pourra pas fonctionner”.
Aujourd'hui, font savoir les travailleurs de l’Inefja, ils lancent un vibrant appel au président de la République, au Premier ministre, aux ministres des Finances et de l'Éducation, pour leur demander de débloquer la situation.