Que ne ferait pas Me Wade et son gouvernement pour l’argent ? C’est la question qu’on se pose quand on jette un œil sur la Une du Quotidien de ce mardi 24 janvier 2012. Il barre à sa Une « En quête effrénée d’argent : Wade hypothèque la République à 100 milliards ». En développement, le Quotidien révèle « L’Etat sénégalais est engagé dans une opération de grande envergure avec la Banque islamique du Sénégal (Bis). Le Quotidien a appris que les autorités de l’Etat ont décidé de placer sous hypothèque des bâtiments publics à Dakar, afin de récolter la somme de 100 milliards de francs Cfa auprès d’institutions financières arabes. Cette opération se réalise avec le concours de la Banque islamique, et concerne le Building administratif, le siège du gouvernement du Sénégal, ainsi que les immeubles Peytavin, qui abrite le ministère de l’Economie et des Finances, et celui abritant le Trésor public, aux angles des avenues Pom¬pidou et Dr Thèze ».
Poursuivant, le journal lu par Leral.net, fait savoir que l'opération dont il est question suit son cours meme si l'objectif n'est pas encore su. « La Banque islamique sert d’intermédiaire dans une affaire qui permettra à des financiers de pays arabes, qui ont des fonds islamiques à placer, à s’engager en affaires avec le gouvernement du Sénégal. Des fonctionnaires du ministère de l’Economie et des Finances, qui ont suivi d’assez près un dossier qui se traite dans le plus grand secret, indiquent que si les choses vont assez lentement, c’est parce que les Arabes ont voulu prendre toutes leurs précautions et s’assurer que les immeubles proposés en gage appartiennent réellement, sur titre foncier, au patrimoine de l’Etat. Ce qui fait que si l’accord est déjà trouvé, l’hypothèque n’est pas encore totalement réalisée», renseigne le Quotidien.
Poursuivant, le journal lu par Leral.net, fait savoir que l'opération dont il est question suit son cours meme si l'objectif n'est pas encore su. « La Banque islamique sert d’intermédiaire dans une affaire qui permettra à des financiers de pays arabes, qui ont des fonds islamiques à placer, à s’engager en affaires avec le gouvernement du Sénégal. Des fonctionnaires du ministère de l’Economie et des Finances, qui ont suivi d’assez près un dossier qui se traite dans le plus grand secret, indiquent que si les choses vont assez lentement, c’est parce que les Arabes ont voulu prendre toutes leurs précautions et s’assurer que les immeubles proposés en gage appartiennent réellement, sur titre foncier, au patrimoine de l’Etat. Ce qui fait que si l’accord est déjà trouvé, l’hypothèque n’est pas encore totalement réalisée», renseigne le Quotidien.