Voilà une société crée en 2007, dotée d’un capital de 130 milliards de F CFA, avec ses nombreuses filiales (ferroviaire, commerciale, ses installations au port de Dakar), d’une valeur vendue 36 jours après sa création à 40 milliards de FCFA .
« Certes l’Etat détenait selon lui 47% du capital, mais aujourd’hui il ne lui reste que 15%, tout le reste est entre les mains des indiens », révèle l(invité de Leral TV.
Avec une réserve plus d’un milliard de tonnes de phosphate, d’une rare qualité pour une durée d’exploitation estimée à 500 ans, les ICS, selon Ndiouga Wakk Diouf, ont une valeur égale ou supérieure au gaz et au pétrole dont qui font l’actualité, pourtant aujourd’hui elles ne profitent qu’aux Indiens…
Mais il en rajoute une couche…Ecoutons le.
« Certes l’Etat détenait selon lui 47% du capital, mais aujourd’hui il ne lui reste que 15%, tout le reste est entre les mains des indiens », révèle l(invité de Leral TV.
Avec une réserve plus d’un milliard de tonnes de phosphate, d’une rare qualité pour une durée d’exploitation estimée à 500 ans, les ICS, selon Ndiouga Wakk Diouf, ont une valeur égale ou supérieure au gaz et au pétrole dont qui font l’actualité, pourtant aujourd’hui elles ne profitent qu’aux Indiens…
Mais il en rajoute une couche…Ecoutons le.