Ces périmètres ont été emportés par les eaux du fleuve Sénégal et de son affluent principal, la Falémé. Selon M. Lô, la situation des inondations à Bakel est «catastrophique» pour l’agriculture irriguée. «Après le retrait des eaux, on va faire le recensement exhaustif (…) mais véritablement, pour cette campagne, il y a un désespoir», s’est-il alarmé.
Le délégué de la Saed à Bakel a aussi souligné que le réseau d’irrigation est fortement perturbé, avec des digues de protection qui ont cédé. Il s’agit de la troisième inondation qui a impacté la zone, après celles du 21 août, qui avaient dévasté 157 ha et du 14 septembre de cette année.
«Lors de la première inondation, on avait émis un certain nombre de recommandations, comme rendre plus disponible et efficace l’information météorologique, ainsi que celle liée à la gestion de la crue par l’Omvs», l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal, a-t-il rappelé.
Une telle mesure aurait, selon lui, permis de sécuriser le matériel d’irrigation qui flotte au niveau du fleuve, ainsi que les cultures.
Le délégué de la Saed à Bakel a aussi souligné que le réseau d’irrigation est fortement perturbé, avec des digues de protection qui ont cédé. Il s’agit de la troisième inondation qui a impacté la zone, après celles du 21 août, qui avaient dévasté 157 ha et du 14 septembre de cette année.
«Lors de la première inondation, on avait émis un certain nombre de recommandations, comme rendre plus disponible et efficace l’information météorologique, ainsi que celle liée à la gestion de la crue par l’Omvs», l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal, a-t-il rappelé.
Une telle mesure aurait, selon lui, permis de sécuriser le matériel d’irrigation qui flotte au niveau du fleuve, ainsi que les cultures.