Pourtant, ce n'est pas pour plaire à tout le monde. La journaliste Barbara Hellen du Guardian est montée au créneau pour dénoncer une extrême violence et elle ne semble pas avoir la langue dans sa poche "Couleur de peau mise à part, la 'chienne blanche pourrie gâtée' a beaucoup plus en commun avec la Rihanna de la vie réelle que la Rihanna gangster qu'elle incarne dans le clip, qu'importe ce qu'elle pense de l'état de sa street crédibility".
Un pic acerbe qui complète une descente en règle : "Merci Rihanna pour avoir co-dirigé ce clip et avoir démontré que la torture et le meurtre d'une femme commis par une autre est tout aussi 'sexy' que le meurtre d'une femme commis par un homme. Nous n'en étions pas sûr, mais maintenant nous le sommes."
Puis, elle s'étonne que ce soit Rihanna, elle-même victime de violences de la part de Chris Brown, qui l'ait réalisé. Que ce soit clair, la rédactrice n'a pas aimé et le montre bien. Elle poursuit "L'art excuse-t-il la misogynie dans une vidéo ?". Ce n'est plus un article, mais un véritable pamphlet que la journaliste signe là et on doute que ses enfants auront le droit, un jour, de regarder ce clip.
L'égérie Dior n'a pas répondu, pour le moment, même si elle a été vue avec une casquette "Enfants riches déprimés", un premier pied de nez ? Connaissant le caractère bien trempée de la barbadienne, il y a peu de chance pour que l'affaire en reste là. On se souvient que l'article du Daily Mail critiquant son attitude n'était pas resté sans réponse.
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