Ces deux régions constituent la casse-tête du moment pour les autorités. Mais il faut dire que c’est presque l’intégralité du pays qui est en « rouge ». Diouf Sarr se veut clair, « cette décision qui ne concerne que Dakar et Thiès, ne veut pas dire que les autres régions ne sont plus concernées par la riposte. La stratégie nationale doit être prise pour amener les autres qui se trouvent dans les régions, à respecter les gestes-barrières pour éviter que le virus s’y propage à une très grande vitesse ».
Déjà, et comme l’a annoncé le chef de l’Etat dans son discours, « tous les centres de traitement de l’épidémie (Cte) seront rouverts sur toute l’étendue du territoire national, avec une amplification vers d’autres nouveaux centres ».
Aussi, le ministre Diouf Sarr se désole de ce qu’il appelle « la promiscuité du diagnostic. Les malades arrivent à un stade très avancé de la maladie ». Un constat fait par le personnel de santé, qui explique le nombre important de cas graves en réanimation et le taux élevé de décès, par le fait que les gens ont peur de se rendre à l’hôpital.
Le chef du département de la Santé pense qu’il est temps de développer la communication appropriée pour que les populations comprennent la situation.
Par rapport à la riposte communautaire, le président de la République souhaite que la lutte au niveau de la communauté soit une appropriation, surtout des jeunes. Sur cette invite lancée à l’endroit des leaders d’opinion et des élus locaux, l’Etat du Sénégal compte mettre les mesures qui vont accompagner cette lutte dans cette nouvelle phase de l’épidémie.
Avec "Le Témoin"
Déjà, et comme l’a annoncé le chef de l’Etat dans son discours, « tous les centres de traitement de l’épidémie (Cte) seront rouverts sur toute l’étendue du territoire national, avec une amplification vers d’autres nouveaux centres ».
Aussi, le ministre Diouf Sarr se désole de ce qu’il appelle « la promiscuité du diagnostic. Les malades arrivent à un stade très avancé de la maladie ». Un constat fait par le personnel de santé, qui explique le nombre important de cas graves en réanimation et le taux élevé de décès, par le fait que les gens ont peur de se rendre à l’hôpital.
Le chef du département de la Santé pense qu’il est temps de développer la communication appropriée pour que les populations comprennent la situation.
Par rapport à la riposte communautaire, le président de la République souhaite que la lutte au niveau de la communauté soit une appropriation, surtout des jeunes. Sur cette invite lancée à l’endroit des leaders d’opinion et des élus locaux, l’Etat du Sénégal compte mettre les mesures qui vont accompagner cette lutte dans cette nouvelle phase de l’épidémie.
Avec "Le Témoin"