«ON NE PEUT PAS vouloir une chose et son contraire», s'insurgeait récemment un internaute, qui fustigeait l'attitude contradictoire de certains compatriotes qui avaient naguère tiré à boulets rouges sur ceux qui s'étaient légitimement plaints de la PORNOGRAPHIE verbale, de l'apologie de la FORNICATION et de L'ADULTÈRE dont était truffée la série à polémiques MDHM.
DANS UN LYNCHAGE en règle dans les réseaux sociaux, arguant que "nu niou déf ba guiss ko"? Ou encore "Lu lénn téré zapper", etc. - alors que Dieu sait que les responsables de JAMRA ne regardent JAMAIS ces pitoyables MIMÉTISMES aveugles des sous-cultures étrangères - ces réfractaires d'hier opèrent donc à présent une volte-face à 180 degrés.
QU'ILS SACHENT QUE JAMRA, dont le premier bras-de-fer contre les dérives audiovisuelles remonte au 19 août 2000 ("Confessions érotiques" de Canal), dispose également, à l'instar du gendarme de l'audiovisuel, le CNRA, d'une "Commission de visionnage". Ainsi, sommes-nous régulièrement tenus informés, en temps réel, des dérives de toutes sortes, à l'actif de certains producteurs exclusivement préoccupés par le gain de l'argent facile, au détriment de la préservation de nos valeurs et au mépris de la santé mentale et morale des enfants.
"C'EST PARCE QUE JAMRA avait vu venir", argumente un autre internaute! "D'autant que c'est pour l'intérêt général que JAMRA ALERTE", soutient un autre. En effet, n'aurait-il pas été plus peinard que de faire comme "monsieur-tout-le-monde", en faisant sien cette maxime du succulent poète Koth Barma, disant que : "Séétaan moo dax si ap ndajé"?
SI JAMRA et ses alliés, regroupés dans le "Collectif des 48 organisations plaignantes contre les dérives audiovisuelles", sont restés de marbre pendant une dizaine de jours durant lesquels des milliers de Sénégalais déversaient leur colère dans les réseaux sociaux suite à d'inadmissibles récidives d'OBSCÉNITÉS télévisuelles, c'était pour nous assurer que nous ne ferions pas (à nouveau) l'objet d'un déroutant "wax-waxét", de la part de certains indignés de circonstance !
MAIS À PRÉSENT que l'indignation semble avoir atteint son paroxysme, au vue surtout des centaines de messages et d'extraits vidéos que nous ont fait parvenir des internautes, par Hashtag-Facebook, Messenger, WhatsApp et Mail, JAMRA et ses 48 alliés peuvent à présent informer l'opinion du dépôt imminent de quatre (4) PLAINTES, adressées à ces deux instances étatiques respectives :
- PLAINTE A L'ATTENTION du CONSEIL DE RÉGULATION DE L’AUDIOVISUEL (CNRA), en raison du fait que la série "INFIDÈLES" (EvenProd) poursuit toujours son mépris royal des "mises en demeure" de l'organe de régulation, en dépit de deux (2) plaintes, relativement à la fâcheuse tendance de ce producteur à ne promouvoir QUE DES OBSCÉNITÉS. Comme s'il cherchait volontairement à CHOQUER AU MAXIMUM l'auditoire, pourvu que ces dérives attirent certains annonceurs et boostent ses rentrées financières. Au mépris de la sensibilité des téléspectateurs.
EN EFFET, après s'être illustrées dans la promotion de l'ADULTÈRE et d'un SYMBOLE LGBT, sur fond de PORNOGRAPHIE VERBALE, les actrices de cette série perverse continuent de fouler au pied nos valeurs sociétales en s'inscrivant dans un nouveau registre: celui de S'INSULTER DE MÈRE ! Ce qui avait d'ailleurs valu à la téléréalité intitulée "KAWTÉF" (SenTv) d'être sanctionnée, en 2015, par le CNRA (sous le magistère du défunt président Babacar Touré), par l'arrêt pure et simple de sa diffusion sur le petit écran.
JAMRA ET SES 48 CO-PLAIGNANTS ont également signalé, dans leur double saisine adressée au CNRA et au PROCUREUR de la République, la scène érotique qui fait polémique, entre Amy Léa et Abdoul Magib, dans l’épisode 29 de la série “KARMA” (Marodi). Une séquence plusieurs fois capturée par les internautes et fortement décriée dans les réseaux sociaux. Si bien que face au tollé provoqué par cette scène très osée, et se rendant compte de sa bourde, le producteur "Marodi" s’est empressé de supprimer cet épisode 29 des réseaux sociaux, avant de le republier à nouveau, quelques minutes plus tard, mais sans la séquence érotique qui fait polémique.
PUISQUE le ridicule ne tue pas au Sénégal, ces adeptes des dérives audiovisuelles se réfugient maintenant sous cet argument lamentable : "Non, cette scène n'est diffusée que sur YOUTUBE"! L'on se rappelle que c'est ce raisonnement simpliste que EvenProd avait brandi lorsque nous dénoncions la scandaleuse séquence de la série INFIDÈLES, où une fille, pour prétendument prouver à son boy-friend qu'elle était en période de menstrues, n'avait rien trouvé de mieux que de sortir de son slip un coton hygiénique imbibé de sang, qu'elle a brandi sans vergogne.
FEIGNANT d'ignorer que ce type de séquences, qui consacrent une DÉGRADATION EXTRÊME DE L'IMAGE DE LA FEMME SÉNÉGALAISE à travers un support de diffusion de portée planétaire comme YouTube, impacte plus fortement les mass-médias. Beaucoup plus même que ne le feraient nos télévisions locales. Et donne une perception négative plus prégnante de la société sénégalaise à l'étranger. Causant ainsi moralement du tort à la majorité de nos concitoyens, imbus des nobles valeurs bien sénégalaises.
SI LES CULTURES hindoue et japonaise sont aujourd'hui si respectées et admirées de part le monde, c'est bien parce que les producteurs audiovisuels de ces pays, imbus de PATRIOTISME CULTUREL, prennent soin de n'exporter que leurs valeurs sociales les plus positives, par le biais de leurs savoir-faire artistiques et cinématographiques.
- PLAINTE A L'ATTENTION DU PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE, concernant la scandaleuse production "NÉÉGOU SEY" (SkyTv) qui, sans doute dopée par l'IMPUNITÉ dont semblent se prévaloir ces deux producteurs ci-dessus nommés, vient de déclencher à son tour une AVALANCHE D'INDIGNATIONS dans l'opinion, avec une séquence truffée d'OBSCÉNITÉS, tant langagières que physiques. Et dont les extraits-vidéos, que beaucoup d'internautes nous ont fait parvenir se passent de commentaire.
IL EST BIEN HEUREUX que de récentes dispositions du droit pénal sénégalais, tenant compte des dernières évolutions de la technologie numérique, aient procédé à l'adoption de nouvelles infractions liées aux Nouvelles technologies de l'information et de la communication (Ntic).
AINSI, la loi numéro 2008-11 du 25 janvier 2008, portant sur la CYBERCRIMINALITÉ, notamment la diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs (article 2), renforcée par les disposition du Code pénal, en son article 431-60, qui puni sévèrement les contrevenants qui, par un moyen de communication électronique affichent, exposent ou projettent, AUX REGARDS DU PUBLIC, imprimés, photographies, films ou images CONTRAIRES AUX BONNES MŒURS", confirment et renforcent les dispositions pérennes du Code pénal sur l'attentat à la pudeur et l'outrage PUBLIC aux bonnes mœurs (articles 318 et 324).
LA PROMOTION de L'HOMOSEXUALITÉ et du LESBIANISME juvénile, à travers les bandes dessinées pour enfants, où l'on y banalise ouvertement la DÉBAUCHE, à travers des séquences subliminales de vulgarisation de l'idéologie LGBT, aux fins de la faire admettre dans les frêles esprits des adolescents comme une «normalité», semblent être la nouvelle trouvaille des lobbies HOMOSEXUELS et MAÇONNIQUES, dans leur volonté maléfique de bâtir une société sans Dieu.
DANS LA DOUBLE PLAINTE adressée au CNRA et au PROCUREUR de la République, une ALERTE sur les productions PRO-LGBT, étayées de "screenshort" (captures d'écran) y occupe une place de choix. Les 48 plaignants y dénoncent la promotion des DÉVIANCES SEXUELLES, à travers des bandes dessinées pour enfants, vulgarisées notamment par le dessin animé intitulé «Bienvenue chez les Louds», qui passe en boucle sur «NICKOLÉDÉON» (canal N°86 du bouquet CANAL-HORIZON).
JAMRA ET SES 48 CO-PLAIGNANTS, qui n'excluent pas d'organiser, dès la fin des nouvelles restrictions sanitaires, une MARCHE NATIONALE DE PROTESTATION contre ces dérives audiovisuelles, souhaitent vivement que ces deux autorités étatiques, dans leur mission régalienne de veiller au respect des textes de lois, censés garantir la STABILITÉ SOCIALE et la PAIX CIVILE, s'opposent, par des MESURES FORTES, à ces entreprises délibérées de DÉGRADATION de nos bonnes mœurs, et de PERVERSION du jeune public, avant que leurs impacts sur la société ne produisent des effets désastreux, regrettables. Au détriment surtout de la frange sociale la plus vulnérable, à savoir la Jeunesse.
Le 22 décembre 2020
Les Bureaux exécutifs de JAMRA et MBAÑ GACCE
DANS UN LYNCHAGE en règle dans les réseaux sociaux, arguant que "nu niou déf ba guiss ko"? Ou encore "Lu lénn téré zapper", etc. - alors que Dieu sait que les responsables de JAMRA ne regardent JAMAIS ces pitoyables MIMÉTISMES aveugles des sous-cultures étrangères - ces réfractaires d'hier opèrent donc à présent une volte-face à 180 degrés.
QU'ILS SACHENT QUE JAMRA, dont le premier bras-de-fer contre les dérives audiovisuelles remonte au 19 août 2000 ("Confessions érotiques" de Canal), dispose également, à l'instar du gendarme de l'audiovisuel, le CNRA, d'une "Commission de visionnage". Ainsi, sommes-nous régulièrement tenus informés, en temps réel, des dérives de toutes sortes, à l'actif de certains producteurs exclusivement préoccupés par le gain de l'argent facile, au détriment de la préservation de nos valeurs et au mépris de la santé mentale et morale des enfants.
"C'EST PARCE QUE JAMRA avait vu venir", argumente un autre internaute! "D'autant que c'est pour l'intérêt général que JAMRA ALERTE", soutient un autre. En effet, n'aurait-il pas été plus peinard que de faire comme "monsieur-tout-le-monde", en faisant sien cette maxime du succulent poète Koth Barma, disant que : "Séétaan moo dax si ap ndajé"?
SI JAMRA et ses alliés, regroupés dans le "Collectif des 48 organisations plaignantes contre les dérives audiovisuelles", sont restés de marbre pendant une dizaine de jours durant lesquels des milliers de Sénégalais déversaient leur colère dans les réseaux sociaux suite à d'inadmissibles récidives d'OBSCÉNITÉS télévisuelles, c'était pour nous assurer que nous ne ferions pas (à nouveau) l'objet d'un déroutant "wax-waxét", de la part de certains indignés de circonstance !
MAIS À PRÉSENT que l'indignation semble avoir atteint son paroxysme, au vue surtout des centaines de messages et d'extraits vidéos que nous ont fait parvenir des internautes, par Hashtag-Facebook, Messenger, WhatsApp et Mail, JAMRA et ses 48 alliés peuvent à présent informer l'opinion du dépôt imminent de quatre (4) PLAINTES, adressées à ces deux instances étatiques respectives :
- PLAINTE A L'ATTENTION du CONSEIL DE RÉGULATION DE L’AUDIOVISUEL (CNRA), en raison du fait que la série "INFIDÈLES" (EvenProd) poursuit toujours son mépris royal des "mises en demeure" de l'organe de régulation, en dépit de deux (2) plaintes, relativement à la fâcheuse tendance de ce producteur à ne promouvoir QUE DES OBSCÉNITÉS. Comme s'il cherchait volontairement à CHOQUER AU MAXIMUM l'auditoire, pourvu que ces dérives attirent certains annonceurs et boostent ses rentrées financières. Au mépris de la sensibilité des téléspectateurs.
EN EFFET, après s'être illustrées dans la promotion de l'ADULTÈRE et d'un SYMBOLE LGBT, sur fond de PORNOGRAPHIE VERBALE, les actrices de cette série perverse continuent de fouler au pied nos valeurs sociétales en s'inscrivant dans un nouveau registre: celui de S'INSULTER DE MÈRE ! Ce qui avait d'ailleurs valu à la téléréalité intitulée "KAWTÉF" (SenTv) d'être sanctionnée, en 2015, par le CNRA (sous le magistère du défunt président Babacar Touré), par l'arrêt pure et simple de sa diffusion sur le petit écran.
JAMRA ET SES 48 CO-PLAIGNANTS ont également signalé, dans leur double saisine adressée au CNRA et au PROCUREUR de la République, la scène érotique qui fait polémique, entre Amy Léa et Abdoul Magib, dans l’épisode 29 de la série “KARMA” (Marodi). Une séquence plusieurs fois capturée par les internautes et fortement décriée dans les réseaux sociaux. Si bien que face au tollé provoqué par cette scène très osée, et se rendant compte de sa bourde, le producteur "Marodi" s’est empressé de supprimer cet épisode 29 des réseaux sociaux, avant de le republier à nouveau, quelques minutes plus tard, mais sans la séquence érotique qui fait polémique.
PUISQUE le ridicule ne tue pas au Sénégal, ces adeptes des dérives audiovisuelles se réfugient maintenant sous cet argument lamentable : "Non, cette scène n'est diffusée que sur YOUTUBE"! L'on se rappelle que c'est ce raisonnement simpliste que EvenProd avait brandi lorsque nous dénoncions la scandaleuse séquence de la série INFIDÈLES, où une fille, pour prétendument prouver à son boy-friend qu'elle était en période de menstrues, n'avait rien trouvé de mieux que de sortir de son slip un coton hygiénique imbibé de sang, qu'elle a brandi sans vergogne.
FEIGNANT d'ignorer que ce type de séquences, qui consacrent une DÉGRADATION EXTRÊME DE L'IMAGE DE LA FEMME SÉNÉGALAISE à travers un support de diffusion de portée planétaire comme YouTube, impacte plus fortement les mass-médias. Beaucoup plus même que ne le feraient nos télévisions locales. Et donne une perception négative plus prégnante de la société sénégalaise à l'étranger. Causant ainsi moralement du tort à la majorité de nos concitoyens, imbus des nobles valeurs bien sénégalaises.
SI LES CULTURES hindoue et japonaise sont aujourd'hui si respectées et admirées de part le monde, c'est bien parce que les producteurs audiovisuels de ces pays, imbus de PATRIOTISME CULTUREL, prennent soin de n'exporter que leurs valeurs sociales les plus positives, par le biais de leurs savoir-faire artistiques et cinématographiques.
- PLAINTE A L'ATTENTION DU PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE, concernant la scandaleuse production "NÉÉGOU SEY" (SkyTv) qui, sans doute dopée par l'IMPUNITÉ dont semblent se prévaloir ces deux producteurs ci-dessus nommés, vient de déclencher à son tour une AVALANCHE D'INDIGNATIONS dans l'opinion, avec une séquence truffée d'OBSCÉNITÉS, tant langagières que physiques. Et dont les extraits-vidéos, que beaucoup d'internautes nous ont fait parvenir se passent de commentaire.
IL EST BIEN HEUREUX que de récentes dispositions du droit pénal sénégalais, tenant compte des dernières évolutions de la technologie numérique, aient procédé à l'adoption de nouvelles infractions liées aux Nouvelles technologies de l'information et de la communication (Ntic).
AINSI, la loi numéro 2008-11 du 25 janvier 2008, portant sur la CYBERCRIMINALITÉ, notamment la diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs (article 2), renforcée par les disposition du Code pénal, en son article 431-60, qui puni sévèrement les contrevenants qui, par un moyen de communication électronique affichent, exposent ou projettent, AUX REGARDS DU PUBLIC, imprimés, photographies, films ou images CONTRAIRES AUX BONNES MŒURS", confirment et renforcent les dispositions pérennes du Code pénal sur l'attentat à la pudeur et l'outrage PUBLIC aux bonnes mœurs (articles 318 et 324).
LA PROMOTION de L'HOMOSEXUALITÉ et du LESBIANISME juvénile, à travers les bandes dessinées pour enfants, où l'on y banalise ouvertement la DÉBAUCHE, à travers des séquences subliminales de vulgarisation de l'idéologie LGBT, aux fins de la faire admettre dans les frêles esprits des adolescents comme une «normalité», semblent être la nouvelle trouvaille des lobbies HOMOSEXUELS et MAÇONNIQUES, dans leur volonté maléfique de bâtir une société sans Dieu.
DANS LA DOUBLE PLAINTE adressée au CNRA et au PROCUREUR de la République, une ALERTE sur les productions PRO-LGBT, étayées de "screenshort" (captures d'écran) y occupe une place de choix. Les 48 plaignants y dénoncent la promotion des DÉVIANCES SEXUELLES, à travers des bandes dessinées pour enfants, vulgarisées notamment par le dessin animé intitulé «Bienvenue chez les Louds», qui passe en boucle sur «NICKOLÉDÉON» (canal N°86 du bouquet CANAL-HORIZON).
JAMRA ET SES 48 CO-PLAIGNANTS, qui n'excluent pas d'organiser, dès la fin des nouvelles restrictions sanitaires, une MARCHE NATIONALE DE PROTESTATION contre ces dérives audiovisuelles, souhaitent vivement que ces deux autorités étatiques, dans leur mission régalienne de veiller au respect des textes de lois, censés garantir la STABILITÉ SOCIALE et la PAIX CIVILE, s'opposent, par des MESURES FORTES, à ces entreprises délibérées de DÉGRADATION de nos bonnes mœurs, et de PERVERSION du jeune public, avant que leurs impacts sur la société ne produisent des effets désastreux, regrettables. Au détriment surtout de la frange sociale la plus vulnérable, à savoir la Jeunesse.
Le 22 décembre 2020
Les Bureaux exécutifs de JAMRA et MBAÑ GACCE
Source : https://www.impact.sn/Riposte-massive-aux-derives-...