La jeune fille est surprise et se sent humiliée par son bien aimé en voyant sa photo sur le réseau social. Les larmes aux yeux, elle explique à la barre toute la douleur qu’elle a ressentie. Tentant de justifier son acte, son petit ami dit être victime d’un envoûtement dont sa fiancée serait l’auteur. Aussi, la juge Ramatoulaye Ly Ndiaye a-t-elle récusé cette justification qui n’explique en rien son geste. Jugeant cette affaire « trop gênante », la défense a reconnu le tort commis par son client avant de solliciter la bienveillance du tribunal. L’accusé sera édifié sur son sort le 4 septembre prochain.
Fatou Camara
Fatou Camara