- Les conséquences d'une éventuelle sortie de la Grèce de la zone euro ont été abordées...
Le Premier ministre britannique David Cameron a convoqué une réunion lundi matin avec des responsables gouvernementaux pour discuter des conséquences d'une éventuelle sortie de la Grèce de la zone euro ou d'un défaut de paiement.
«Il reste des risques de contagion et des incertitudes donc il est important de tous les passer en revue», a expliqué le porte-parole de David Cameron. «Il faut considérer toutes les éventualités», a-t-il estimé.
La réunion, prévue depuis plusieurs jours et qui a duré une heure, avait pour but de dépoussiérer les plans d'urgence qui avaient été étudiés par le gouvernement britannique en 2012 face à la crise de la zone euro.
Des responsables du ministère des Finances et des Affaires étrangères étaient présents à la réunion lundi mais pas les ministres eux-mêmes.
La Banque d'Angleterre a de son côté confirmé la participation de deux de ses dirigeants, le directeur en charge de l'international Phil Evans et la directrice exécutive en charge de la supervision des banques internationales, Megan Butler.
La Grèce: «plus grande menace pour l'économie mondiale»
Le ministre des Finances George Osborne et le gouverneur de la BoE Mark Carney étaient pour leur part à Istanbul où ils participent à une réunion des pays du G20.
George Osborne avait estimé il y a une semaine que la Grèce représente «la plus grande menace pour l'économie mondiale», à la suite d'une rencontre avec son homologue grec Yanis Varoufakis, ministre du gouvernement issu de la victoire du parti de la gauche radicale Syriza aux législatives du 25 janvier.
Le Royaume-Uni ne fait pas partie de la zone euro mais son économie, dans laquelle le secteur financier pèse lourd, est très sensible à la situation de ses voisins de la zone euro.
Le Premier ministre britannique David Cameron a convoqué une réunion lundi matin avec des responsables gouvernementaux pour discuter des conséquences d'une éventuelle sortie de la Grèce de la zone euro ou d'un défaut de paiement.
«Il reste des risques de contagion et des incertitudes donc il est important de tous les passer en revue», a expliqué le porte-parole de David Cameron. «Il faut considérer toutes les éventualités», a-t-il estimé.
La réunion, prévue depuis plusieurs jours et qui a duré une heure, avait pour but de dépoussiérer les plans d'urgence qui avaient été étudiés par le gouvernement britannique en 2012 face à la crise de la zone euro.
Des responsables du ministère des Finances et des Affaires étrangères étaient présents à la réunion lundi mais pas les ministres eux-mêmes.
La Banque d'Angleterre a de son côté confirmé la participation de deux de ses dirigeants, le directeur en charge de l'international Phil Evans et la directrice exécutive en charge de la supervision des banques internationales, Megan Butler.
La Grèce: «plus grande menace pour l'économie mondiale»
Le ministre des Finances George Osborne et le gouverneur de la BoE Mark Carney étaient pour leur part à Istanbul où ils participent à une réunion des pays du G20.
George Osborne avait estimé il y a une semaine que la Grèce représente «la plus grande menace pour l'économie mondiale», à la suite d'une rencontre avec son homologue grec Yanis Varoufakis, ministre du gouvernement issu de la victoire du parti de la gauche radicale Syriza aux législatives du 25 janvier.
Le Royaume-Uni ne fait pas partie de la zone euro mais son économie, dans laquelle le secteur financier pèse lourd, est très sensible à la situation de ses voisins de la zone euro.