Le président Macky Sall est au Maroc. Mais pour une fois personne n’est en mesure de donner les raisons de ce séjour dans le royaume chérifien. Dans ce contexte post-référendum, ce mystère ne rassure personne au sein du pouvoir où l’éventualité d’un remaniement enfle et prend de la consistance. Le chef de l’Etat est-il en train de travailler à une recomposition de l’équipe gouvernementale ? Si rien pour l’instant n’a filtré, c’est comme qui dirait la peur-panique au sein du gouvernement. Ceux qui ont le plus de soucis à se faire, ce sont ceux qui ont perdu dans leur fief. Mais, la réalité est qu’ils ne sont pas les seuls. Même ceux qui ont gagné ne sont pas tranquilles.
Dans le camp du pouvoir, les gens sont d’avis qu’Abdoulaye Wade avait pour habitude de clignoter à gauche pour tourner à droite. En ce qui concerne Macky Sall, dit-on, il ne clignote même pas. Du coup, personne ne sait sur quel pied danser. Si les ministres sont sur le qui-vive, il en est de même pour les directeurs généraux. Car tout le monde s’attend à ce que des décisions soient prises et que des ajustements soient faits.
Ce qui serait en quelque sorte, l’analyse personnelle du chef de l’Etat des résultats du référendum. Au-delà de cette consultation citoyenne et au regard des remaniements mainte fois annoncés, il est depuis longtemps attendu cette retouche de l’équipe gouvernementale. D’autant plus que, comme nous l’avions souligné dans notre édition de ce vendredi 24 mars 2016, le bilan du régime, après 4 ans de magistère, est loin d’être rose. Même si des avancées ont été notées dans certains secteurs.
Source: EnQuête
Dans le camp du pouvoir, les gens sont d’avis qu’Abdoulaye Wade avait pour habitude de clignoter à gauche pour tourner à droite. En ce qui concerne Macky Sall, dit-on, il ne clignote même pas. Du coup, personne ne sait sur quel pied danser. Si les ministres sont sur le qui-vive, il en est de même pour les directeurs généraux. Car tout le monde s’attend à ce que des décisions soient prises et que des ajustements soient faits.
Ce qui serait en quelque sorte, l’analyse personnelle du chef de l’Etat des résultats du référendum. Au-delà de cette consultation citoyenne et au regard des remaniements mainte fois annoncés, il est depuis longtemps attendu cette retouche de l’équipe gouvernementale. D’autant plus que, comme nous l’avions souligné dans notre édition de ce vendredi 24 mars 2016, le bilan du régime, après 4 ans de magistère, est loin d’être rose. Même si des avancées ont été notées dans certains secteurs.
Source: EnQuête