Pour le gouvernement gambien, il n y a pas à chercher de midi à 14h, les instigateurs sont identifiés. Sans détour, la fausse alerte faisant état d’un complot de coup d’Etat imminent en Gambie est l’oeuvre des ennemis du régime dont le but est de « semer la psychose et un climat de paranoïa dans le pays ». « Cette rumeur est fausse et elle ne mérite pas qu’on s’y attarde », semble trancher le porte-parole du gouvernement.
« A peine la rumeur distillée, la police, les services de renseignements et la Mission de la CEDEAO en Gambie, ont diligenté conjointement une enquête pour vérifier la véracité de l’alerte », informe-t-on. Aucune preuve n’a été trouvée comme une prétendue cache d’armes dans un cimetière. L’intégralité de l’enregistrement est « fausse et dénuée de tout fondement », peut-on lire dans ledit communiqué.
Pas de purge
Aucune arrestation n’est à l’ordre du jour et le gouvernement reste imperturbable renseigne-t-on. « Les autorités font preuve de maturité dans le traitement d’une telle rumeur dans un contexte particulier ». Par conséquent, il tient à rassurer ses citoyens et la communauté internationale, qu’il n’y aura ni règlement de comptes ni purge.
Au stade actuel, selon le porte-parole du gouvernement, au moins deux individus réputés proches de l’ancien président Jammeh, ont été identifiés parmi les auteurs de la fausse alerte.
Emedia
« A peine la rumeur distillée, la police, les services de renseignements et la Mission de la CEDEAO en Gambie, ont diligenté conjointement une enquête pour vérifier la véracité de l’alerte », informe-t-on. Aucune preuve n’a été trouvée comme une prétendue cache d’armes dans un cimetière. L’intégralité de l’enregistrement est « fausse et dénuée de tout fondement », peut-on lire dans ledit communiqué.
Pas de purge
Aucune arrestation n’est à l’ordre du jour et le gouvernement reste imperturbable renseigne-t-on. « Les autorités font preuve de maturité dans le traitement d’une telle rumeur dans un contexte particulier ». Par conséquent, il tient à rassurer ses citoyens et la communauté internationale, qu’il n’y aura ni règlement de comptes ni purge.
Au stade actuel, selon le porte-parole du gouvernement, au moins deux individus réputés proches de l’ancien président Jammeh, ont été identifiés parmi les auteurs de la fausse alerte.
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