Les manœuvres de diversion des ex tenants du régime sur les audits qui indexent certains ministres et d’autres collaborateurs de Wade sont la preuve d’une volonté de ne pas se soumettre au contrôle de gestion qui est un exercice ordinaire dans un régime de droit.
Le pays ne peut pas s’endetter à un niveau surréaliste du fait de déprédateurs des biens publics, sans que le président Macky Sall ne donne un coup de botte dans la souricière que les libéraux sous Wade avaient construite à la seule fin de s’enrichir individuellement à partir des deniers publics.
L’évasion fiscale et la fuite des finances nationales savamment organisées pour plaquer des fonds, parfois en dehors de nos frontières, ne doivent pas restées sans suite. Sinon c’est la porte ouverte pour la mal gouvernance qui empêche les populations de bénéficier du fruit de leur labeur, après de nombreuses décennies de sacrifices dus aux politiques d’ajustement structurel ou de perfusion financière.
Pendant que les entreprises nationales du secteur de la pêche, de la confection et de la bonneterie, les travailleurs du monde rural, l’école et l’université, les travaux publics et les chemins de fer croupissaient dans des difficultés insupportables, de simples ministres et acolytes du régime de Wade, profitant de leurs positions étatiques ou de complicités au plus haut niveau, se sont enrichis de manière insolente en toisant leurs propres concitoyens qui les connaissaient « abonnés » de cars rapides.
En dix ans la machine Wade a fabriqué les plus grands pirates de l’histoire du pays au point que les étrangers eux-mêmes se posaient la question si le Sénégal ne s’était pas transformé en plateforme de trafic illicite de tous genres, tant les montagnes de richesses qui s’accumulaient chez les nouveaux parvenus et ne se justifiant pas, insultaient la conscience !
Des collections de véhicules haut de gamme, leurs femmes parées de bijoux de valeur, des enfants nourris aux rayons des produits de luxe des supermarchés, des naissances massivement organisées par vols d’avions hors de nos frontières aux USA ou en France, des marchés surfacturés d’après les organes de contrôle, des bourses distribuées avantageusement à leur progéniture et d’autres insolences démontrent, si besoin en était, l’ampleur des pompes opérées sur les finances nationales.
Notre parti dans toutes ses composantes ne se laissera pas divertir. Il fera face à l’adversité et défendra la ligne de rupture développée par le président Macky Sall pour le retour des fonds extorqués au sein du trésor pour financer le programme yonu yokuté, le seul à même de procéder à l’éthique de responsabilité dans la gestion des biens publics et booster la croissance ; et par là améliorer le panier de la ménagère.
Nous demeurons plus que jamais convaincus que l’immense espoir suscité au Sénégal et à l’extérieur par l’élection du président Macky Sall mérite d’être soutenu et entretenu par les cadres de l’APR qui doivent retrousser leurs manches et se retrouver à la première ligne dans le combat politique et intellectuel contre les saboteurs internes et externes de la vision mise en œuvre par le gouvernement de la seconde alternance.
Cette orientation qui doit rassurer tout le parti servira de base à la rupture prônée qui est à la fois une nécessité et une urgence de bonne gouvernance. Cela appelle l’unité dans nos rangs et surtout chez les ministres apèristes Thierno Sall et Augustin Tine en ce qui concerne la région de Thiès qui, en direction des prochaines locales et présidentielles, a une partition toute significative à jouer.
Pr Papa Malick Sow .ing
Coordinateur de comité à Médina FALL THIES
Cadre APR Thiès
Le pays ne peut pas s’endetter à un niveau surréaliste du fait de déprédateurs des biens publics, sans que le président Macky Sall ne donne un coup de botte dans la souricière que les libéraux sous Wade avaient construite à la seule fin de s’enrichir individuellement à partir des deniers publics.
L’évasion fiscale et la fuite des finances nationales savamment organisées pour plaquer des fonds, parfois en dehors de nos frontières, ne doivent pas restées sans suite. Sinon c’est la porte ouverte pour la mal gouvernance qui empêche les populations de bénéficier du fruit de leur labeur, après de nombreuses décennies de sacrifices dus aux politiques d’ajustement structurel ou de perfusion financière.
Pendant que les entreprises nationales du secteur de la pêche, de la confection et de la bonneterie, les travailleurs du monde rural, l’école et l’université, les travaux publics et les chemins de fer croupissaient dans des difficultés insupportables, de simples ministres et acolytes du régime de Wade, profitant de leurs positions étatiques ou de complicités au plus haut niveau, se sont enrichis de manière insolente en toisant leurs propres concitoyens qui les connaissaient « abonnés » de cars rapides.
En dix ans la machine Wade a fabriqué les plus grands pirates de l’histoire du pays au point que les étrangers eux-mêmes se posaient la question si le Sénégal ne s’était pas transformé en plateforme de trafic illicite de tous genres, tant les montagnes de richesses qui s’accumulaient chez les nouveaux parvenus et ne se justifiant pas, insultaient la conscience !
Des collections de véhicules haut de gamme, leurs femmes parées de bijoux de valeur, des enfants nourris aux rayons des produits de luxe des supermarchés, des naissances massivement organisées par vols d’avions hors de nos frontières aux USA ou en France, des marchés surfacturés d’après les organes de contrôle, des bourses distribuées avantageusement à leur progéniture et d’autres insolences démontrent, si besoin en était, l’ampleur des pompes opérées sur les finances nationales.
Notre parti dans toutes ses composantes ne se laissera pas divertir. Il fera face à l’adversité et défendra la ligne de rupture développée par le président Macky Sall pour le retour des fonds extorqués au sein du trésor pour financer le programme yonu yokuté, le seul à même de procéder à l’éthique de responsabilité dans la gestion des biens publics et booster la croissance ; et par là améliorer le panier de la ménagère.
Nous demeurons plus que jamais convaincus que l’immense espoir suscité au Sénégal et à l’extérieur par l’élection du président Macky Sall mérite d’être soutenu et entretenu par les cadres de l’APR qui doivent retrousser leurs manches et se retrouver à la première ligne dans le combat politique et intellectuel contre les saboteurs internes et externes de la vision mise en œuvre par le gouvernement de la seconde alternance.
Cette orientation qui doit rassurer tout le parti servira de base à la rupture prônée qui est à la fois une nécessité et une urgence de bonne gouvernance. Cela appelle l’unité dans nos rangs et surtout chez les ministres apèristes Thierno Sall et Augustin Tine en ce qui concerne la région de Thiès qui, en direction des prochaines locales et présidentielles, a une partition toute significative à jouer.
Pr Papa Malick Sow .ing
Coordinateur de comité à Médina FALL THIES
Cadre APR Thiès