Les déboires judiciaires de S. Ndao font suite à l’exploitation d’une plainte contre X qu’un vieil homme a déposée pour le compte de sa fille, au Commissariat central de Louga. Interrogé sur sa plainte, le plaignant a déclaré qu’une vidéo montrant sa fille dans une position très inconfortable en compagnie d’un jeune homme, lui a été envoyée par un inconnu.
En plus, celui-ci le faisait chanter en lui réclamant une forte somme d’argent. Poursuivant, il a précisé que ce dernier menaçait de diffuser la vidéo en question s’il rechigne à lui envoyer la somme exigée.
Mais, le père a pris le soin de communiquer le numéro qui lui a transmis la vidéo obscène par le biais de l’application WhatsApp. «Je ne voulais céder à ce chantage, c’est pourquoi j’ai décidé de porter plainte contre X, car je suis persuadé qu’il me connaît parfaitement», explique-t-il. Munis de ces renseignements, les hommes du Commissaire Lamarana Diallo, très décidés à éclairer les zones d’ombre de cette histoire de mœurs, ont adressé une réquisition à la Sonatel afin qu’elle puisse localiser le numéro en question.
Après des jours de recoupements et d’investigations, les techniciens de ladite société ont finalement réussi à tracer le propriétaire du téléphone portable. Cette voie balisée, les limiers ont désormais les coudées franches pour procéder à l’arrestation du mis en cause. Invité à répondre sur les faits à lui reprochés, ce dernier les a balayés d’un revers de la main : «J’ai acheté le téléphone portable auprès d’un individu, mais ce n’est pas moi qui ai envoyé la vidéo au vieil homme», s’est-il défendu avec insistance S. Ndao.
Mais, il n’était pas en mesure de révéler l’identité de la personne qui lui a filé le téléphone. Suffisant pour qu’il soit retenu pour le délit de détention d’images à caractère pornographique et de chantage. Après la durée légale de sa garde-à-vue, le jeune homme a été conduit au parquet de Louga. Après un retour de parquet, S. Ndao a été envoyé, en début de semaine, en prison.
Lobs.sn
En plus, celui-ci le faisait chanter en lui réclamant une forte somme d’argent. Poursuivant, il a précisé que ce dernier menaçait de diffuser la vidéo en question s’il rechigne à lui envoyer la somme exigée.
Mais, le père a pris le soin de communiquer le numéro qui lui a transmis la vidéo obscène par le biais de l’application WhatsApp. «Je ne voulais céder à ce chantage, c’est pourquoi j’ai décidé de porter plainte contre X, car je suis persuadé qu’il me connaît parfaitement», explique-t-il. Munis de ces renseignements, les hommes du Commissaire Lamarana Diallo, très décidés à éclairer les zones d’ombre de cette histoire de mœurs, ont adressé une réquisition à la Sonatel afin qu’elle puisse localiser le numéro en question.
Après des jours de recoupements et d’investigations, les techniciens de ladite société ont finalement réussi à tracer le propriétaire du téléphone portable. Cette voie balisée, les limiers ont désormais les coudées franches pour procéder à l’arrestation du mis en cause. Invité à répondre sur les faits à lui reprochés, ce dernier les a balayés d’un revers de la main : «J’ai acheté le téléphone portable auprès d’un individu, mais ce n’est pas moi qui ai envoyé la vidéo au vieil homme», s’est-il défendu avec insistance S. Ndao.
Mais, il n’était pas en mesure de révéler l’identité de la personne qui lui a filé le téléphone. Suffisant pour qu’il soit retenu pour le délit de détention d’images à caractère pornographique et de chantage. Après la durée légale de sa garde-à-vue, le jeune homme a été conduit au parquet de Louga. Après un retour de parquet, S. Ndao a été envoyé, en début de semaine, en prison.
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