La composition de l’actuel gouvernement, démontre manifestement, la volonté du régime d’hébéter le Peuple sénégalais, en reléguant l’éducation au second plan. La répétition étant pédagogique, nous réitérons que, « ce régime a dévalué l’éducation nationale, d’une manière jamais égalée dans l’histoire du Sénégal ». Apres avoir branlé à plusieurs occasions, et erré pendant des jours, monsieur le Président de la république est revenu le 28 Aout 2012, avec des allégations, jugées à la fois inconstitutionnelles et anticonstitutionnelles. En effet, Macky Sall semble avoir oublié que la Constitution qui lui a conféré la présidence de la république, a prévu dans ses textes, le Senat, dirigé par la deuxième personnalité de l’état du Sénégal. Comment et en vertu de quel pouvoir, un président démocratiquement élu, peut-il s’arroger le droit de parler, si légèrement de la suppression de la deuxième institution ou du renvoi de son renouvellement aux calendes grecques, en parfaite ignorance des règles primaires qui régissent la république?
Pour rappel, la Constitution actuelle stipule clairement, qu’en cas de vacance du Pouvoir ou d’incapacité du Président de la république, le Président du Senat assure l’intérim, entre soixante et quatre vingt dix jours, pour ensuite organiser des élections démocratiques, libres et transparentes. Qu’adviendrait-il de la cohésion sociale et de l’ordre institutionnel, si le Président de la république perdait à l’instant, d’une manière ou d’une autre, ses capacités ? Fort probablement, le Pays verserait dans des querelles sanguinaires sans précédent, entre le Camp du Président du Senat et celui du Président de l’Assemblée nationale, pour la gestion intérimaire des affaires courantes de l’état du Sénégal. Le Président Macky Sall doit savoir, qu’une consultation référendaire à l’approbation du Peuple souverain, est incontournable, à défaut d’une majorité parlementaire écrasante, et favorable à une gymnastique constitutionnelle de changement, en plus de la coopération de l’actuel Senat. Même pour honorer sa promesse électorale, visant à réduire sa longévité au Pouvoir, nous sommes convaincus que le Président Macky Sall n’est pas sans savoir, la non-rétroactivité de la loi constitutionnelle, portant sur la durée du mandant présidentiel au Sénégal (07ans). Cette bataille aura forcément lieu, dans un futur relativement proche.
Dans l’esprit de créer la diversion dans la tête de ses compatriotes et concitoyens, à propos des « Eaux de la misère », qui les tuent et déconstruisent leurs habitats et leurs foyers, de son fameux voyage de loisir ou de « trouvaille » au Maroc pour certains, aux Etats unis ou en Afrique du Sud pour d’autres, le Président Macky Sall s’attaque à la République sœur de Gambie, en profanant un principe fondamental de la Diplomatie, «quelle que soit la situation, il faut toujours maintenir et assainir la communication». C’est peut-être le lieu de rappeler, qu’il y a un nombre considérable de sénégalais et de sénégalaises, dans le « corridor de la mort » de plusieurs pays d’Europe, d’Asie, et même aux Etats Unis d’Amérique. L’état du Sénégal va-t-il attendre leur exécution, pour arborer cyniquement un ton d’honneur mal placé, et jouer au « médecin après la mort » ? En tout état de cause, une question mérite d’être posée, pouvons-nous sans réserves, reprocher à un état souverain, l’application de la loi, conformément à sa Constitution ?
Si tel est le cas, pourquoi aux Etats Unis d’Amérique, tout comme en Chine, des milliers de personnes « présumées coupables », sont exécutées chaque année par balles au frais de leurs familles, par injection létale, par inhalation de gaz mortel, sans qu’il n’y ait aucune sanction à leur encontre ? Tout récemment dans l’état de Géorgie, plus précisément à Savannah, Troy Davis a été exécuté, malgré la déficience des preuves brandies par le Jury, et malgré l’appel d’amnistie du monde entier. Les Grandes Puissances jouiraient-elles de « permis de tuer » ou d’ « immunité de supériorité », de par leur droit de veto, conféré par les fameuses Nations Unies ? Pour rappel, de vaillants hommes comme Patrice Emery Lumumba, Thomas Sankara, Saddam Hussein, Che Guevara, Laurent Kabila, Le Colonel Kadhafi…ont été lâchement assassinés par les mêmes « Justiciers » qui en veulent aujourd’hui, au Président Yahya Jammeh de la Gambie. Ce dernier reste l’un des ultimes rampants à leur tenir tête, en refusant de faire allégeance au Nouvel Ordre Mondial. Les visites consécutives et successives de Laurent Fabius et d’Hilary Clinton à Dakar, laissent entrevoir le rôle de marionnette ou de Juda, qui aurait été assigné au Sénégal, dans cette opération de diabolisation et de destitution du Patriarche de Banjul. On peut tout reprocher au Président Jammeh, sauf d’être un assujetti servile à la merci des néo-colonialistes. A coté des promesses d’aide, faites par Washington (Hilary Clinton), dans la résolution de la Crise en Casamance qui dure pendant plusieurs décennies, il serait suicidaire d’ignorer les possibilités de génocide, en cas de conflit armé entre le Sénégal et la Gambie. En un mot, « le remède risque d’etre pire que la maladie ».
A nos amis de la RADDHO qui parlent de violation de droits de l’homme à Banjul, nous leur demandons de revenir à la raison, et d’aller observer les conditions agonisantes dans lesquelles, les détenus et prévenus de toutes nationalités, vivent dans les «Camps de concentration », que d’aucuns appellent par abus de langage, « Maisons d’arrêt et de correction », sur le territoire sénégalais. Ils conviendront aisément avec nous, que la peine de mort est aussi pratiquée au Sénégal, seulement sous d’autres formes plus dégradantes, et plus inhumaines. En ce qui concerne le mouvement du « M23 », l’état du Sénégal doit faire de sorte qu’il ne se transforme par le fil du temps, en mouvement armé, comme le « M23 » en République Démocratique du Congo (RDC). De pareilles organisations, si elles ne sont pas contenues voire démantelées, représentent un imminent danger pour la paix civile et de l’équilibre institutionnel. Le Président Macky Sall, au lieu de tenter de divertir les sénégalais avec de dangereuses déclarations ou frasques, dépourvues de toute intelligence et de cohérence, politiquement inopportunes et socialement inacceptables, aurait mieux fait de débourser plusieurs milliards de ses sept (07) comptes bancaires, et d’inviter tous les « gérants de stations politiques », tous les ministres, tous les sénateurs, tous les députés et tous les autres compatriotes, à faire de même pour accompagner l’éminent appel à la solidarité, lancé par le Khalife Général de la Mouridya, qui a volontairement octroyé un (01) milliard de francs aux populations, à travers l’état du Sénégal.
Force est de constater, que les prétendus « citoyens modèles » ont encore, moralement et intellectuellement, beaucoup à apprendre des « citoyens ordinaires ». Les premiers jouissent d’une « immunité politicienne », qui leur garantit la liberté provisoire, voire même le non-lieu total, en cas d’homicide volontaire, dès qu’ils avouent leurs crimes, en plus d’éléments audiovisuels, pendant que les derniers, ne peuvent même pas prétendre à la présomption d’innocence, dès l’instant qu’ils sont accusés de complicité. Les disciples de Machiavel li font la pluie et le beau temps, au détriment d’honnêtes citoyens sénégalais. Le culte de l’excellence et du travail honnête, est érigé en contre-valeur, en faveur de la démagogie et de l’appartenance politique. Voila le vrai visage de la Justice ou « Soss Tiss » au Sénégal, avec son « Maquillage sale ».
A suivre.
Pour rappel, la Constitution actuelle stipule clairement, qu’en cas de vacance du Pouvoir ou d’incapacité du Président de la république, le Président du Senat assure l’intérim, entre soixante et quatre vingt dix jours, pour ensuite organiser des élections démocratiques, libres et transparentes. Qu’adviendrait-il de la cohésion sociale et de l’ordre institutionnel, si le Président de la république perdait à l’instant, d’une manière ou d’une autre, ses capacités ? Fort probablement, le Pays verserait dans des querelles sanguinaires sans précédent, entre le Camp du Président du Senat et celui du Président de l’Assemblée nationale, pour la gestion intérimaire des affaires courantes de l’état du Sénégal. Le Président Macky Sall doit savoir, qu’une consultation référendaire à l’approbation du Peuple souverain, est incontournable, à défaut d’une majorité parlementaire écrasante, et favorable à une gymnastique constitutionnelle de changement, en plus de la coopération de l’actuel Senat. Même pour honorer sa promesse électorale, visant à réduire sa longévité au Pouvoir, nous sommes convaincus que le Président Macky Sall n’est pas sans savoir, la non-rétroactivité de la loi constitutionnelle, portant sur la durée du mandant présidentiel au Sénégal (07ans). Cette bataille aura forcément lieu, dans un futur relativement proche.
Dans l’esprit de créer la diversion dans la tête de ses compatriotes et concitoyens, à propos des « Eaux de la misère », qui les tuent et déconstruisent leurs habitats et leurs foyers, de son fameux voyage de loisir ou de « trouvaille » au Maroc pour certains, aux Etats unis ou en Afrique du Sud pour d’autres, le Président Macky Sall s’attaque à la République sœur de Gambie, en profanant un principe fondamental de la Diplomatie, «quelle que soit la situation, il faut toujours maintenir et assainir la communication». C’est peut-être le lieu de rappeler, qu’il y a un nombre considérable de sénégalais et de sénégalaises, dans le « corridor de la mort » de plusieurs pays d’Europe, d’Asie, et même aux Etats Unis d’Amérique. L’état du Sénégal va-t-il attendre leur exécution, pour arborer cyniquement un ton d’honneur mal placé, et jouer au « médecin après la mort » ? En tout état de cause, une question mérite d’être posée, pouvons-nous sans réserves, reprocher à un état souverain, l’application de la loi, conformément à sa Constitution ?
Si tel est le cas, pourquoi aux Etats Unis d’Amérique, tout comme en Chine, des milliers de personnes « présumées coupables », sont exécutées chaque année par balles au frais de leurs familles, par injection létale, par inhalation de gaz mortel, sans qu’il n’y ait aucune sanction à leur encontre ? Tout récemment dans l’état de Géorgie, plus précisément à Savannah, Troy Davis a été exécuté, malgré la déficience des preuves brandies par le Jury, et malgré l’appel d’amnistie du monde entier. Les Grandes Puissances jouiraient-elles de « permis de tuer » ou d’ « immunité de supériorité », de par leur droit de veto, conféré par les fameuses Nations Unies ? Pour rappel, de vaillants hommes comme Patrice Emery Lumumba, Thomas Sankara, Saddam Hussein, Che Guevara, Laurent Kabila, Le Colonel Kadhafi…ont été lâchement assassinés par les mêmes « Justiciers » qui en veulent aujourd’hui, au Président Yahya Jammeh de la Gambie. Ce dernier reste l’un des ultimes rampants à leur tenir tête, en refusant de faire allégeance au Nouvel Ordre Mondial. Les visites consécutives et successives de Laurent Fabius et d’Hilary Clinton à Dakar, laissent entrevoir le rôle de marionnette ou de Juda, qui aurait été assigné au Sénégal, dans cette opération de diabolisation et de destitution du Patriarche de Banjul. On peut tout reprocher au Président Jammeh, sauf d’être un assujetti servile à la merci des néo-colonialistes. A coté des promesses d’aide, faites par Washington (Hilary Clinton), dans la résolution de la Crise en Casamance qui dure pendant plusieurs décennies, il serait suicidaire d’ignorer les possibilités de génocide, en cas de conflit armé entre le Sénégal et la Gambie. En un mot, « le remède risque d’etre pire que la maladie ».
A nos amis de la RADDHO qui parlent de violation de droits de l’homme à Banjul, nous leur demandons de revenir à la raison, et d’aller observer les conditions agonisantes dans lesquelles, les détenus et prévenus de toutes nationalités, vivent dans les «Camps de concentration », que d’aucuns appellent par abus de langage, « Maisons d’arrêt et de correction », sur le territoire sénégalais. Ils conviendront aisément avec nous, que la peine de mort est aussi pratiquée au Sénégal, seulement sous d’autres formes plus dégradantes, et plus inhumaines. En ce qui concerne le mouvement du « M23 », l’état du Sénégal doit faire de sorte qu’il ne se transforme par le fil du temps, en mouvement armé, comme le « M23 » en République Démocratique du Congo (RDC). De pareilles organisations, si elles ne sont pas contenues voire démantelées, représentent un imminent danger pour la paix civile et de l’équilibre institutionnel. Le Président Macky Sall, au lieu de tenter de divertir les sénégalais avec de dangereuses déclarations ou frasques, dépourvues de toute intelligence et de cohérence, politiquement inopportunes et socialement inacceptables, aurait mieux fait de débourser plusieurs milliards de ses sept (07) comptes bancaires, et d’inviter tous les « gérants de stations politiques », tous les ministres, tous les sénateurs, tous les députés et tous les autres compatriotes, à faire de même pour accompagner l’éminent appel à la solidarité, lancé par le Khalife Général de la Mouridya, qui a volontairement octroyé un (01) milliard de francs aux populations, à travers l’état du Sénégal.
Force est de constater, que les prétendus « citoyens modèles » ont encore, moralement et intellectuellement, beaucoup à apprendre des « citoyens ordinaires ». Les premiers jouissent d’une « immunité politicienne », qui leur garantit la liberté provisoire, voire même le non-lieu total, en cas d’homicide volontaire, dès qu’ils avouent leurs crimes, en plus d’éléments audiovisuels, pendant que les derniers, ne peuvent même pas prétendre à la présomption d’innocence, dès l’instant qu’ils sont accusés de complicité. Les disciples de Machiavel li font la pluie et le beau temps, au détriment d’honnêtes citoyens sénégalais. Le culte de l’excellence et du travail honnête, est érigé en contre-valeur, en faveur de la démagogie et de l’appartenance politique. Voila le vrai visage de la Justice ou « Soss Tiss » au Sénégal, avec son « Maquillage sale ».
A suivre.
Papa Latyr Faye
MBA International Development Consulting
bayefaaltouba@gmail.com
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