Selon le document, « ce léger décalage s'explique par le désistement, à la dernière minute (Mardi à 22 h 45 mn), du gérant dudit local ». La coordination de cette structure a expliqué cette attitude par les raisons suivantes : « Ils nous ont appelés pour nous dire que la police va quadriller les lieux
parce que les jeunes de « Y EN A MARRE », en pourfendeurs du président WADE, se serviront de notre local pour brocarder le régime ». « Enième harcèlement ! », crie « Y en a marre ». Ses membres ne manquent d'ailleurs pas de rappeler que depuis le début de ses activités, le mouvement « Y EN A MARRE » subit un « harcèlement sournois ».
L'intimidation a commencé avec la gérante de la Librairie (où s'est tenue la conférence de presse de lancement de la première phase du plan d'action de mobilisation) ». Cette dernière, souligne le communiqué, « contre vents et marées, avait résisté en accueillant la rencontre de lancement de l'opération « Mille plaintes » contre le gouvernement du Sénégal, le 2 mars 2011 ».
« Y en a marre » pointe du doigt la police, non sans s'interroger : « À quoi joue la police ? Qui se cache derrière elle ? ». Avant d'ajouter : « le mouvement « Y en a marre » ne reculera pas ». Non sans prendre à témoin l'opinion nationale et internationale, et compte user de « tous ses droits pour démasquer le monstre encagoulé derrière la police ».
Djim Momath KIDIERA le matin
parce que les jeunes de « Y EN A MARRE », en pourfendeurs du président WADE, se serviront de notre local pour brocarder le régime ». « Enième harcèlement ! », crie « Y en a marre ». Ses membres ne manquent d'ailleurs pas de rappeler que depuis le début de ses activités, le mouvement « Y EN A MARRE » subit un « harcèlement sournois ».
L'intimidation a commencé avec la gérante de la Librairie (où s'est tenue la conférence de presse de lancement de la première phase du plan d'action de mobilisation) ». Cette dernière, souligne le communiqué, « contre vents et marées, avait résisté en accueillant la rencontre de lancement de l'opération « Mille plaintes » contre le gouvernement du Sénégal, le 2 mars 2011 ».
« Y en a marre » pointe du doigt la police, non sans s'interroger : « À quoi joue la police ? Qui se cache derrière elle ? ». Avant d'ajouter : « le mouvement « Y en a marre » ne reculera pas ». Non sans prendre à témoin l'opinion nationale et internationale, et compte user de « tous ses droits pour démasquer le monstre encagoulé derrière la police ».
Djim Momath KIDIERA le matin