En fait, le 6 juillet dernier, les agents de la police, en ronde dans la zone de Saly, appréhendent la dame Marème Diop pour vérification d'identité. Elle est ainsi conduite au poste de police, pour non détention de carte d'identité. En cours de route, la fille appelle son ami, Jean-Marc Metzerro avec qui elle partageait un verre dans un bar du coin. Parce que cette nuit même, elle avait accompagné Jean jusqu'au seuil de sa porte avant de prendre congé de lui. Donc, c'est en rentrant chez elle qu’elle a été arrêtée.
Informé, Metzerro se rend dare-dare au commissariat, dans un état second. Il se défoule sur policiers en les traitant d'hommes sans culture, de sauvages, de tou tes les insanités. Malgré la patience des limiers qui l'ont supplié de sortir du commissariat, Jean-Marc a refusé et a continué à se rebeller et à exiger la libération de «sa femme». Excédés par le comportement déplacé du toubab, les policiers l'arrêtent finalement pour ivresse manifeste, rébellion contre des agents de police dans l'exercice de leur fonction.
Le lendemain, à son réveil, jean constate les dégâts et se rend compte de ses forfaitures. Il tente alors de présenter ses excuses aux policiers. Mais c'était trop tard, le vin était déjà tiré et il faut le boire. Jean est ainsi déféré au parquet et envoyé à la Mac de Mbour où il séjourna pendant une semaine avant de venir comparaître au tribunal. Il reconnaît les faits qui lui sont reprochés, réitère ses excuses, et regrette ses actes. Malgré tout, le procureur a tenu à bien le savonner, en lui rappelant que les Africains porter de la manière en Europe. Et que quand on désire vivre dans un pays étranger, on se doit de respecter les lois et règlements de ce pays. Le «parquetier» a alors requis contre lui une peine de 6 mois, dont 5 avec sursis pour les propos malveillants tenus à l'endroit des policiers et 15 jours ferme pour ivresse publique manifeste. Le délibéré est fixé pour le jeudi prochain.
P. DIEYE
Source Walf Grand Place
Informé, Metzerro se rend dare-dare au commissariat, dans un état second. Il se défoule sur policiers en les traitant d'hommes sans culture, de sauvages, de tou tes les insanités. Malgré la patience des limiers qui l'ont supplié de sortir du commissariat, Jean-Marc a refusé et a continué à se rebeller et à exiger la libération de «sa femme». Excédés par le comportement déplacé du toubab, les policiers l'arrêtent finalement pour ivresse manifeste, rébellion contre des agents de police dans l'exercice de leur fonction.
Le lendemain, à son réveil, jean constate les dégâts et se rend compte de ses forfaitures. Il tente alors de présenter ses excuses aux policiers. Mais c'était trop tard, le vin était déjà tiré et il faut le boire. Jean est ainsi déféré au parquet et envoyé à la Mac de Mbour où il séjourna pendant une semaine avant de venir comparaître au tribunal. Il reconnaît les faits qui lui sont reprochés, réitère ses excuses, et regrette ses actes. Malgré tout, le procureur a tenu à bien le savonner, en lui rappelant que les Africains porter de la manière en Europe. Et que quand on désire vivre dans un pays étranger, on se doit de respecter les lois et règlements de ce pays. Le «parquetier» a alors requis contre lui une peine de 6 mois, dont 5 avec sursis pour les propos malveillants tenus à l'endroit des policiers et 15 jours ferme pour ivresse publique manifeste. Le délibéré est fixé pour le jeudi prochain.
P. DIEYE
Source Walf Grand Place