Malgré le calme des forces de l’ordre et leur volonté de contenir les assauts de la population en colère, des affrontements ont eu lieux dans les quartiers de Sangalkam voir photos prise par le reporter de leral.net . Plusieurs blessés ont été notés ainsi que des arrestations sommaires de personnes qui ont ensuite été relâchée à la fin de la cérémonie de passation de service boycottée par le PCR, Omar Gueye. S’adressant à la presse, le nouveau chef de la délégation, Ali Khoudia Diao a délivré un discours qui s’inscrit dans une logique d’apaisement. Et se veut formel. « Nous ne sommes pas en zone ennemi, je vous le rappel. Notre mission est d’assurer la continuité de la gestion de la communauté rurale dans une démarche autre que celle menée par l’ancienne équipe conduite par Omar Gueye. Nous ne sommes pas là pour des intérêts politiques ou fonciers. Le bien être des populations est notre seule priorité. » Souligne le sociologue Ali Khoudia Diao. Ce dernier dit comprendre l’attitude de la population en colère et promet de se mettre au travail le plutôt possible. Outre les affrontements entre jeunes de Sangalkam et forces de l’ordre, ce vendredi noir de Sangalkam reste marqué par l’attitude responsable du PCR, Omar Gueye qui a exhorté les nombreux jeunes de cesser les manifestations et d’adopter un comportement légaliste et républicain.
Apres plusieurs mois de vive tension sur les enjeux du découpage administratif, la communauté rurale de Sangalkam a finalement vécue une chaude journée avec l’installation des délégations spéciales ce vendredi 27 Mai.
9 Heures 30 minutes à la maison communautaire de Sangalkam, une forte foule est massée devant l’institution qui doit abriter les cérémonies de passation de service. La tension est palpable ce matin à Sangalkam. De nombreux jeunes occupent l’intérieur de la maison communautaire et attendent de pieds fermes, les autorités administratives pour manifester leur mécontentement. Les forces de l’ordre veillent aux grains. Un important dispositif sécuritaire à été mobilisé pour l’occasion. Le président de la communauté rurale de Sangalkam, Omar Gueye sort un instant de l’institution et s’adresse à la foule. Une déclaration brève qui stipule leur refus d’assister à la passation de service. « Je réitère mes propos, je n’accepterai d’aucune manière de participer à cette cérémonie de passation de service anti loi. Comment se fait-il qu’on m’envoie une lettre de notification à 9 heures 45 minutes, pour me spécifier d’une passation de service qui doit se dérouler à 10heures ? Je ne l’accepterai pas. » Sur un air radical, le PCR de Sangalkam regagne son bureau après son spitch. Les tractations pour convaincre Omar Gueye d’assister à la cérémonie de passation de service se multiplient. Deux heures plus tard toujours pas l’ombre d’une autorité administrative dans les locaux de la maison communautaire. C’est seulement à 12 heures que le préfet et le sous préfet de Sangalkam accompagnés de la délégation spéciale arrivent. Les forces de l’ordre ont déjà quadrillés le secteur et dispersés les populations hostiles au projet. L’attente durera 45 minutes pour la délégation spéciales pour constater le refus du PCR, Omar Gueye de participer à la cérémonie. Finalement le préfet et ses hôtes se décident à quitter les lieux. La cérémonie aura donc vécue sans Omar Gueye qui quitte les lieux peu après le départ des autorités administratives.
9 Heures 30 minutes à la maison communautaire de Sangalkam, une forte foule est massée devant l’institution qui doit abriter les cérémonies de passation de service. La tension est palpable ce matin à Sangalkam. De nombreux jeunes occupent l’intérieur de la maison communautaire et attendent de pieds fermes, les autorités administratives pour manifester leur mécontentement. Les forces de l’ordre veillent aux grains. Un important dispositif sécuritaire à été mobilisé pour l’occasion. Le président de la communauté rurale de Sangalkam, Omar Gueye sort un instant de l’institution et s’adresse à la foule. Une déclaration brève qui stipule leur refus d’assister à la passation de service. « Je réitère mes propos, je n’accepterai d’aucune manière de participer à cette cérémonie de passation de service anti loi. Comment se fait-il qu’on m’envoie une lettre de notification à 9 heures 45 minutes, pour me spécifier d’une passation de service qui doit se dérouler à 10heures ? Je ne l’accepterai pas. » Sur un air radical, le PCR de Sangalkam regagne son bureau après son spitch. Les tractations pour convaincre Omar Gueye d’assister à la cérémonie de passation de service se multiplient. Deux heures plus tard toujours pas l’ombre d’une autorité administrative dans les locaux de la maison communautaire. C’est seulement à 12 heures que le préfet et le sous préfet de Sangalkam accompagnés de la délégation spéciale arrivent. Les forces de l’ordre ont déjà quadrillés le secteur et dispersés les populations hostiles au projet. L’attente durera 45 minutes pour la délégation spéciales pour constater le refus du PCR, Omar Gueye de participer à la cérémonie. Finalement le préfet et ses hôtes se décident à quitter les lieux. La cérémonie aura donc vécue sans Omar Gueye qui quitte les lieux peu après le départ des autorités administratives.